Ce jeudi au Centre Charlier

Conférence de M. Yves-Marie Laulan

Economiste, démographe, Président de l’Institut de Géopolitique des Populations

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"De la société de confiance à la société de méfiance : réflexion sur le dépérissement du climat social."

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Jeudi 27 mai 2010 à 19h30.

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Au Centre Charlier, 70 Boulevard Saint-Germain 75005 PARIS. 01 40 51 74 07

( métro Maubert-Mutualité, autobus 24, 47, 63, 86, 87, RER B et C Saint-Michel)

La conférence sera suivie du traditionnel buffet (PAF : 8 €, étudiants, chômeurs : 4 €

Imprudence à la direction du Parc Astérix

Après qu’une famille ait été violemment agressée par une trentaine de sauvages voyous originaires d’une banlieue des Ulis (Essonne), la direction du Parc a décidé de porter plainte contre les quelques agresseurs arrêtés par la police.

Le directeur de l’exploitation a en outre déclaré à la presse : « nous ne voulons pas de ce type de clientèle ». Sait-il ce brave homme qu’il risque de recevoir les foudres de la Halde et des associations soi-disant antiracistes pour cette déclaration pour le moins osée dans cette république qui livre la France et les Français pieds et poings liés aux couteaux des barbares ?

Car, hélas pour les descendants des Gaulois, les envahisseurs ne sont plus des Romains…

Yann Baly

Sortir de l’euro, monnaie de l’escroquerie technocratique de l’Europe génocidée

Communiqué de Bernard Antony, président de l'Institut du pays Libre.

Il faut tout le degré d’abaissement et d’hébètement des sociétés vieillies, débilitées, atomisées des pays de « l’euroland » pour que les foules ne hurlent pas dans la rue de mettre à la lanterne les indécents menteurs de l’eurocrassie meurtrière.

Toutes les affirmations des promoteurs de l’euro pleins de suffisance sont chaque jour démenties et chaque jour violés par eux leurs principes fondateurs de la monnaie unique. Même les plus imbéciles des eurocrédules des traités de Maastricht et de Lisbonne finissent par s’apercevoir que l’euro n’est plus qu’une monnaie inique manipulée par les faux-monnayeurs de l’utopie mondialiste.

L’euro aura bien accompagné le génocide humain des pays de l’avortement, de la dénatalité, de l’euthanasie, de l’homofolie, de l’inversion raciste, toutes choses allant ensemble selon un terrible instinct de mort avec la désertification industrielle et la suppression de millions d’emplois.

Sortir du carcan de l’euro, retrouver nos monnaies, ce n’est pas détruire l’Europe, c’est la sortir de l’engourdissement monétaire, de la paralysie économique, c’est redonner à nos pays les conditions de la souplesse. C’est vouloir réveiller les énergies de nos peuples, assurer les retraites des vieux par la renaissance des jeunes.

Franc, rappelons-le, signifie libre : le retour au franc sera une première étape sur la reconquête de la liberté que seule donne la vérité.

Demain sur Radio-Courtoisie, dans le Libre Journal de la Réplique, Bernard Antony recevra Thierry Rolando, président du Cercle Algérianiste, organisateur de la manifestation de Cannes contre le film « Hors la loi ».

A 19 h 30, dans la partie dossier de l’émission, il recevra David Mascré, auteur du remarquable livre « Crise, krach, collapsus ».

Chrétienté-Solidarité et l’Institut du Pays Libre invitent tous leurs adhérents et amis de Provence et de Côte d’azur à se joindre à la manifestation nationale de mobilisation organisée par le Cercle Algérianiste contre l’instrumentalisation, avec le film « Hors la Loi », du festival de Cannes par le dictateur algérien Bouteflika et l’organisation terroriste FLN. Cette dernière a été transformée depuis 1962 en un parti unique conjuguant la corruption et l’incompétence. Le FLN est la principale cause de la gabegie et de la misère depuis un demi-siècle d’un pays disposant pourtant de ressources naturelles équivalentes à celles de la Californie.

Par ailleurs, Bernard Antony qui dirigea dans les années 1986 avec Alain Sanders la campagne des manifestations de France Fraternelle pour relayer les combats du capitaine Leclaire et du colonel de Blignières pour la vérité sur les Françaises et Français enlevés en Algérie en 1962, appuie totalement la revendication algérianiste pour que soit un jour projeté partout un film de vérité mettant fin au négationnisme sur ces enlèvements et sur le génocide des harkis.

Les peuples algériens, kabyle et arabe, comme le peuple français doivent savoir toute la vérité sur l’histoire de l’Algérie moderne, sur la décolonisation en 1830 du joug ottoman et la fin de la dhimmitude pendant cent trente ans pour les juifs et les chrétiens. Il y eut certes les erreurs politiques jacobines dans la colonisation française et notamment celle de la loi Crémieux, et encore comme partout, les injustices humaines. Mais la vérité, c’est que la paix et la prospérité progressaient en Algérie avec la France. La vérité, c’est qu’il fallait pour ce pays, dans l’amitié de ses peuples et communautés, un autre ordre politique que celui d’un conservatisme archaïque islamo-stalinien que la jeunesse algérienne aspire aujourd’hui à balayer. Ce n’est pas en travestissant l’histoire comme on le fait à Cannes qu’on l’aide.

Cercle du livre choisi - Reconquête diffusion : sélection du mois

LETTRES AUX CAPITAINES, André Charlier

Cette très heureuse réédition met à la portée de tous l’un des livres essentiels pour connaître la pensée et l’œuvre d’André Charlier qui fut avant tout un grand éducateur. Les « Capitaines » étaient les chefs de classe mûrement choisis de l’École des Roches repliée à Maslacq, en Béarn, entre 1941 et 1944. André Charlier en faisait des collaborateurs essentiels de son œuvre d’éducation, non pas des « pions », ni de simples mainteneurs d’ordre, mais « les créateurs d’un certain ordre », c’est-à-dire des animateurs ayant pour mission de l’aider à transmettre dans la discipline nécessaire le goût de l’effort, de la vérité, de la beauté et de la vie spirituelle. Et aussi d’une camaraderie qui fit de l’École des Charlier le grand creuset de ce que l’on appellerait l’Amitié Française.

256 pages, 10 x 19. 18 euros.

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CE QU’ON NE VOUS A JAMAIS DIT SUR LA GUERRE D’ESPAGNE, Christophe Dolbeau.

Voilà le beau travail de réplique que nous attendions à la désinformation sur la guerre d’Espagne qui ne cesse de s’amplifier au fur et à mesure que l’on s’éloigne de l’événement. On y trouvera ce qu’il faut savoir sur les raisons du soulèvement national de 1936 qui a épargné à l’Espagne de tomber dans l’escarcelle de Staline et ensuite, grâce à l’habileté diplomatique du général Franco, dans celle d’Hitler. À noter les excellents chapitres sur « les intellectuels contre le Frente Popular » ou sur les volontaires français chez Franco. Le style est alerte, incisif, très agréable à lire. N’omettons pas d’observer qu’il s’agit d’un ouvrage admirablement référencé très utile pour les étudiants en histoire.

24 euros.

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L’ART ET LA PENSÉE, Henri Charlier.

Les réflexions du grand penseur mais aussi grand artiste que fut Henri Charlier, sculpteur, peintre et maître en chant grégorien, sur l’art comme langage et ses techniques. On y lira ses pensées sur la place et le rôle de la foi, sur la formation et la situation de l’artiste en un monde bien loin de la chrétienté. Un ouvrage majeur aux antipodes de l’idéologie nihiliste de « l’art contemporain ».

248 pages. 15 x 22. 27 euros.

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NATURE HUMAINE ET RÉVOLUTION FRANÇAISE,

Xavier Martin.

La révolution française a enfanté tous les grands totalitarismes modernes. Les idéologues du fascisme et du nazisme comme ceux du communisme l’ont salué comme la grande inspiratrice de leur régime. C’est qu’elle doit une large part de son inspiration philosophique à des théories fondamentalement négatrices de la liberté de l’homme, n’en déplaise à ceux qui ont l’illusion qu’elle a été bâtie sur l’idée de liberté. Xavier martin, historien de la pensée et de la philosophie du droit a mis cela en relief avec la plus belle alliance de l’érudition et de la logique.

304 pages, 15 x 22,5. 25 euros.

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Les livres sont à commander au Centre Charlier 70, boulevard Saint Germain 75005 Paris.

Les prix indiqués sont franco de port. Chèques à l'ordre du Centre Charlier.

Mise en examen de Mme Houria Bouteldja pour racisme anti-français

Communiqué de Bernard Antony,
Président de l'AGRIF

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Sur plainte de l’AGRIF devant le tribunal de Toulouse, Madame Houria Bouteldja, présidente de l’association dénommée « Indigènes de la République », a été mise en examen pour avoir proféré une injure raciale à l’égard des Français. Il s’agissait de l’emploi très méprisant et péjoratif du terme « souchiens ».

Le juge d’instruction de Toulouse a fait signifier sa mise en examen à Madame Bouteldja par son collègue compétent territorialement, c’est-à-dire celui de son lieu de domicile.

Elle sera très probablement jugée par le tribunal correctionnel de Toulouse.

Par ailleurs, la procédure contre le livre Nique la France, édité par un membre de l’association de Madame Bouteldja dans la même veine de haine anti-française, est en cours.

Un syndicalisme mortel en Grèce

Les manifestations organisées par les syndicats de gauche à Athènes ont tourné au drame, mercredi 5 mai, avec la mort de 3 employés de banque piégés dans l’incendie de leur agence provoqué par un coktail molotov lancé par des manifestants.

Naturellement aucune compassion pour les victimes n’a été exprimée par les syndicats organisateurs de la manifestation et qui continuent à appeler à manifester au risque de nouvelles victimes.

Ces morts ne viennent troubler aucunement ni les médias, ni les chiens de garde de la « démocratie » et des « droits de l’homme ».

Si les assassins avaient été de droite, gageons que le traitement médiatique de ces assassinats aurait été tout autre. Mais lorsque le criminel se trouve être de gauche ses crimes deviennent légitimes pour une bonne partie des médias et des acteurs politiques.

Ces morts démontrent qu’au travers de l’action de syndicats de gauche, les « travailleurs » peuvent tuer d’autres travailleurs en toute bonne conscience.

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Louis Chagnon