vendredi 30 mars 2012

Bernard Antony, président de l’Agrif, communique

L’islam, Nicolas Sarkozy, Marine Le Pen

L’Agrif ne donne pas de directives électorales. Ce n’est pas sa vocation. Mais elle suit très attentivement tout ce que les candidats à l’élection présidentielle font ou ne font pas pour le respect de l’identité chrétienne de la France et contre les racismes en particulier anti-français, anti-chrétien et tout simplement anti-humain en tant que propageant des idées ou des actes contraires à la dignité humaine et en particulier à l’égalité fondamentale de l’homme et de la femme. Elle approuve donc la décision de Nicolas Sarkozy d’interdiction de la venue de prédicateurs étrangers et boutefeux  au congrès de l’U.O.I.F, l’une des plus grandes organisations de l’islam en France, créée par l’organisation internationale des frères musulmans.

En effet, ce que propagent notamment ces prédicateurs est en totale opposition avec les valeurs de notre civilisation, notamment sur le respect dû à la femme. Mais leurs propos sont aussi antisémites et islamo-impérialistes.

L’Agrif se réjouit aussi des propos de Marine Le Pen manifestant un début de bonne évolution sur la question de l’islam par rapport à son livre-programme « Pour que vive la France » et surtout par rapport à une très regrettable politique relationnelle de la sphère dirigeante du Front National avec des ambassades, groupes et personnages de l’islamisme.

Mais force est de constater que les prédicateurs interdits ne font que répéter sans déformation la lettre du coran ou des hadiths, que ce soit sur les juifs, sur les chrétiens, sur les incroyants et sur le statut de la femme. Et chez nous des milliers d’autres font exactement de même.

Là est le nœud du problème que les dirigeants de l’État et des partis ne voient pas ou ne veulent pas voir.

Or on ne progressera dans la voie d’une bonne coexistence avec les musulmans et à terme de la paix qu’à deux conditions :
- la première, voir l’islam tel qu’il est
- la deuxième, la nécessité de le faire évoluer

1)L’islam ne se dit une simple religion que dans les pays où il n’est pas majoritaire et où il est à la fois la religion, la société, la morale, la politique, l’État et le droit. Or c’est aujourd’hui le cas dans la cinquantaine de pays de l’OCI (Organisation de la conférence islamique) où certes, avec des différences de traditions, sunnites ou chiites, d’écoles juridiques et bien sûr de peuples et d’histoire, il n’en est pas moins partout, avec des degrés divers certes dans l’application plus ou moins directe de la charia issue du coran et du hadith, bâti sur le modèle de la théocratie totalitaire du prophète Mahomet.
Et toute l’évolution aujourd’hui de cet ensemble de pays va, avec peu d’exceptions, vers un islamisme de plus en plus rigoureux : du Maroc à l’Indonésie, du Maghreb à l’Égypte, du Nigéria à l’Iran, au Pakistan. Et c’est aussi la tendance globale de l’islam en France qui regroupe pour l’essentiel des composantes issues de ces divers pays mais surtout traversées par les mêmes tendances de la diversité islamiste plus ou moins radicale.

2)Pour une bonne coexistence et homogénéité nationale il faut que l’islam puisse évoluer. Pour cela, les politiques mais surtout les autorités spirituelles et morales doivent affirmer le droit et la légitimité de lire le coran selon une totale liberté d’analyse et de critique, le droit à l’observation de contradictions, le droit à l’objection. Tout cela dans le respect de nos concitoyens musulmans comme on peut soumettre le judaïsme et le christianisme aux risques de l’analyse historique et scientifique sans offenser les juifs et les chrétiens.
N’est-il pas stupéfiant que dans notre république laïque qui se targue de protéger toutes les opinions et toutes les expressions, il ne nous soit jamais proposé des débats sur la véracité de l’existence de Mahomet ou sur les origines du coran (créé ou incréé ?).
Ce serait pourtant beaucoup plus digne et nécessaire que des textes et dessins de dérision stupidement provocateurs.
            

lundi 26 mars 2012

NICOLAS SARKOZY INVOLONTAIREMENT PEUT-ETRE, MAIS PITOYABLEMENT RACISTE !

Communiqué de Bernard Antony, président de l’AGRIF.

Le président de la République Française, qui n’était pas ivre, parlant de nos trois parachutistes assassinés, a osé proférer l’énormité raciste suivante : « Deux de nos soldats étaient… comment dire… musulmans, en tous cas d’apparence, puisque l’un était catholique ».

Ainsi M. Nicolas Sarkozy dont l’apparence est quelquefois clownesque croit à l’évidence qu’être musulman, c’est d’abord une apparence ! Il ignore que les chrétiens sont, comme les musulmans, de toutes races et de toutes ethnies. Il y en a des blancs, des noirs, des jaunes et de toutes les couleurs intermédiaires !

Comme le plus débile des benêts de bistrot, on l’avait déjà constaté, il confond globalement les musulmans et les « arabes ».

Il prend en gros les gens à la peau moins claire que la sienne pour des musulmans.

Ainsi s’explique peut-être les incohérences d’une politique étrangère d’un État dirigé par un personnage pareillement inculte dans la connaissance de l’humanité en général et de nos concitoyens en particulier.

Nicolas Sarkozy ignore qu’avant les invasions arabo-musulmanes les populations dites aujourd’hui « arabes » étaient très majoritairement chrétiennes, et qu’il y a encore des millions de chrétiens dans les pays arabes et qu’il en reste aussi dans les pays musulmans non arabes.

Hélas, partout dans les pays d’islam, les peuples chrétiens se sont amenuisés et s’amenuisent sous les effets de l’alternance du jihad et de la discrimination dans la dhimmitude. Sans oublier les génocides éradicateurs en Turquie et ailleurs.

Notre parachutiste assassiné, Abel Chennouf, était un berbère catholique comme il y en a beaucoup à l’AGRIF et dans la fraternité de Chrétienté-Solidarité. Comme il y a également parmi nos compatriotes de métropole et d’outre-mer des chrétiens de différentes origines africaines ou asiatiques.

S’il était fidèle à la continuité de la grande politique étrangère de la France sous les différents régimes, le gouvernement de notre république devrait se soucier, ne serait-ce qu’au nom de sa prétendue doctrine d’action pour les droits de l’homme, d’agir pour la liberté religieuse et civile, pour la non-discrimination des chrétiens dans les cinquante pays de l’organisation de la Conférence islamique (OCI).

Il serait bien avisé de convier à cette action généreuse les organisations du Conseil Français du Culte Musulman qui font partie de la grande « oumma » islamique.

Elles obtiendraient assurément ainsi de la part de tous la reconnaissance de leur sens authentique de la fraternité humaine dont  le docteur Boubakeur ne cesse d'affirmer que c'est une dimension de l'islam.

Le CFCM pourrait ainsi œuvrer tout de suite pour la libération d’Asia Bibi, l’héroïque mère de famille catholique ignoblement condamnée à mort au Pakistan.

L'AGRIF lance un nouveau site internet

Le 12 janvier 2012, l'AGRIF faisait condamner par le tribunal correctionnel de Toulouse les 7 profanateurs anti-chrétiens de plus de 100 tombes dans deux cimetières de la ville ( tombes ouvertes, statues brisées, vases renversés, tags antichrétiens…)

Après plusieurs années de combat et après deux renvois, l'AGRIF obtenait en janvier dernier l'ouverture du procès d’Houria Bouteldja pour ses propos racistes envers les Français, traités de "sous-chiens" dont il faut organiser la "rééducation". on sait combien de pareils à la haine réitérés peuvent sans doute conduire certains au passage à l'acte. Son procès en appel aura lieu bientôt.

Ces combats sont les vôtres ? Suivez-les désormais sur le nouveau site internet de l'AGRIF !


L'AGRIF, l'Alliance Générale contre le racisme et pour le respect de l'identité française et chrétienne, est la seule association à pouvoir défendre les chrétiens et les Français devant les tribunaux;

Faites-le savoir !

Adhérez !

Notation des candidats sur les idées de la droite de conviction.

Communiqué de Bernard Antony, président de l’Institut du Pays Libre.

Comme nous l’avions annoncé, soucieux de fournir aux lecteurs de Reconquête et de nos blogs une grille de jugement, l’Institut du Pays Libre, agissant comme agence de notation, a procédé à l’évaluation des candidats à la présidence de la République par rapport à ses idées et propositions essentielles clairement présentées sur les huit aspects essentiels (2 fois) de la politique :

- La France et l’Europe ; Le respect de la vie innocente et des valeurs de notre civilisation ; La laïcité de distinction de la politique et de la religion ; La vigilance contre tous les totalitarismes ; L’éducation et les libertés scolaires ; Une économie de liberté et de protection des fruits du travail ; La sécurité et la justice ; Une politique étrangère d’indépendance et de solidarité ; Une politique de la culture du Vrai, du Beau, du Bon et de la mémoire de toutes les abominations génocidaires.

Le texte de bref exposé de nos idées sur ces huit points et les notes des candidats seront publiées la semaine prochaine dans Reconquête et sur notre blog.

Messieurs Mélenchon et Bayrou ne seront pas notés.

Ils se sont déshonorés et discrédités totalement dans leurs procédés, pour le premier de diffamation et accusation haineuse et dans le plus pur style stalinien, et pour le second dans ses insinuations fielleuses, et amalgames de tartuffe moralisateur et calomniateur.

Ont donc été notés Marine Le Pen, Nicolas Dupont-Aignan, Nicolas Sarkozy, François Hollande, et même Eva Joly.

jeudi 22 mars 2012

Nos positions fondamentales sur l’islam et les musulmans.

1) Chrétiens, souvent entourés d’amis très chers, musulmans convertis au christianisme, nous ne pouvons à priori qu’aimer les musulmans, souhaitant qu’ils quittent, pour trouver la liberté et la charité du Christ, l’enfermement dans la théocratie totalitaire de l’islam. Refuser cette théocratie, ce n’est donc pas être « musulmanophobe » selon la pitoyable confusion intellectuelle de Caroline Fourest ne saisissant pas la distinction entre ce qui relève des considérations pour les personnes et le refus de l’idéologie.

2) L’islam n’est pas seulement une religion mais principalement une totalité sociale, religieuse, morale, politique, culturelle qui n’accepte pas la distinction chrétienne fondamentale tirée de l’évangile entre la politique et le social et la religion (« Rendez à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu »).

3) Tous les musulmans ne sont pas ce que l’on désigne aujourd’hui sous le vocable « d’islamistes », c’est à dire des adeptes d’une stricte application des commandements et principes de l’islam tels que dictés dans le coran, exemplarisés dans les hadiths, les anecdotes modèles de la vie du prophète Mahomet. Mais une très grande partie d’entre eux, qu’ils soient des sunnites dits « salafistes » (c’est à dire agissant selon la tradition des « prédécesseurs ») et notamment les « wahabites » (sur le modèle d’Ibn Wahab, le modèle de l’Arabie saoudite) ou qu’ils soient des chiites suivant l’idéologie de l’ayatollah Khomeyni, relèvent de cette dénomination. Les islamistes sont aujourd’hui au pouvoir ou en passe de l’être dans la plupart des pays islamiques (Iran, Turquie, Irak, Egypte, Pakistan, Afghanistan, Soudan, Nigeria, Tunisie, Libye…).

4) Relayée en France par d’obtus et indécents démagogues liberticides comme François Bayrou, l’organisation de la conférence islamique (OCI), qui regroupe plus de cinquante pays, veut imposer mondialement une loi de répression de « l’islamophobie » c’est à dire une loi interdisant partout la moindre critique de l’islam, tout droit à la liberté de recherche et de critique, tout droit à la moindre expression de refus voire de réticence, punie de mort comme au Pakistan condamnant à mort l’héroïque Asia Bibi martyre de la persécution islamique, comme en Iran où l’on condamne à la pendaison les musulmans convertis au Christ.

5) Dans aucun pays d’islam ne règne l’égalité en dignité et en droit des musulmans  et des non-musulmans. Parmi ces derniers seuls les « gens du livre », c’est à dire les juifs et les chrétiens sont tolérés mais selon le principe de sujétion de la dhimmitude appliquée d’une manière plus ou moins stricte, voire féroce et à terme éradicatrice de toute présence de population non-musulmane.
Quant au principe fondamental d’égalité en droit de l’homme et de la femme, il s’amenuise ou disparaît dans les rares pays d’islam où on le reconnaissait (Tunisie-Turquie).

6) Tous les islamistes ne sont pas des terroristes mais c’est dans l’islamisme que recrute puissamment le terrorisme qui, pour beaucoup, est une arme légitime de combat contre la mécréance.

L’islam en France n’est pas toujours un  islam de France. Il est constitué majoritairement de communautés toujours très liées à leurs peuples d’origine, maghrébins, arabes, turcs, africains divers, comoriens, pakistanais…
Ces communautés sont donc traversées des mêmes courants idéologiques, encadrées par les mêmes partis, souvent islamistes, que leurs peuples d’origine.

7) L’État français doit assurer pour les musulmans comme pour les autres la garantie du respect de la dignité humaine et des droits qui en dérivent. Il ne saurait pour autant favoriser la construction des mosquées qui constituent autant d’espaces de l’implantation de territoires islamiques en France tels que préfigurés par l’exemple du Kosovo. Il doit assurer dans les communautés musulmanes le respect de l’égale dignité de l’homme et de la femme et leur égalité en droit. Il doit sanctionner la polygamie.
Il doit faire respecter en France le principe de la liberté religieuse individuelle dont celui de la conversion et protéger les personnes d’origine musulmane converties au christianisme trop souvent menacées.
Dans sa politique étrangère et de défense des droits de l’homme, il se doit d’agir pour la protection des minorités chrétiennes menacées et persécutées dans les pays d’Islam. Il doit inciter les organisations islamiques de France, qui affirment leur appartenance à « l’oumma », c’est à dire la communauté mondiale des musulmans, à agir pour que soient garantis dans tous les pays d’islam aux non-musulmans les mêmes droits que ceux garantis en France aux musulmans.

8) Les chrétiens soucieux de l’avenir et de la paix doivent s’efforcer à la connaissance sans édulcoration de l’islam réel. Ils doivent aider et assister leurs frères musulmans convertis et poursuivrent comme eux et avec eux l’effort d’évangélisation des musulmans qui aspirent à la loi d’amour et de liberté de l’évangile.

mercredi 21 mars 2012

SUR LE MASSACRE DE TOULOUSE : L’INFAMIE POLITICO-MÉDIATIQUE.

Communiqué de Bernard Antony, président de Chrétienté-Solidarité-Persécutions et du Cercle d’Amitié Francaise Juive et Chrétienne.

 
Après les assassinats de Montauban et le massacre de Toulouse, une fois de plus, une fois encore, un abject déconomètre politico-médiatique, dans lequel François Bayrou s’illustrait d’une manière particulièrement fétide, fonctionnait à pleins tubes avec toutes les techniques de l’insinuation et de l’amalgame.

Personnellement très attaqué pour mes livres sur l’histoire des Juifs et mes positions de président du Cercle d’Amitié Française Juive et Chrétienne par tout un petit chenil d’aboyeurs antisémites obsessionnels, je ne croyais cependant pas du tout, comme je l’ai exprimé à mes amis, à des tueries venant de ces milieux néo-nazis.

Il était évident que le tueur avait à priori assassiné des parachutistes sans pouvoir connaître leur appartenance religieuse.

Je rends hommage à la mise en garde lucide de Me Wiliam Goldnadel, grand avocat et président de France-Israël, qui dénonçait dès avant-hier la systématisation de l’imputation à « l’extrême-droite » de crimes s’avérant ensuite le fait de terroristes islamistes.

Une fois de plus, on tentait de faire avaler au peuple français la désinformation avec les trois grosses ficelles de l’amalgame classique :

- Tout crime à motivation apparemment raciste et/ou antisémite est le fait de nazis.
- L’extrême-droite est réputée nazie, donc coupable.
- La droite nationale est réputée proche de l’extrême-droite, donc coupable, et coupable donc tout ce qui ne s’aligne pas sur la pensée unique de l’antiracisme.

À cela s’ajoute désormais que l’on entend faire passer comme « musulmanophobe » toute légitime critique de la théocratie totalitaire islamique politico-sociale qui pourtant, dans des dizaines de pays, impose aux non-musulmans des régimes rigoureux ou atroces de dhimmitude.

Les militants de Chrétienté-Solidarité et ceux du Cercle d’Amitié Française Juive et Chrétienne manifestent la même indignation et éprouvent la même tristesse devant les assassinats de dizaines d’enfants chrétiens dans les attaques des cathédrales de Bagdad et des églises d’Égypte.

L’antiracisme sélectif et accusatoire vautré dans la manipulation est une infamie. 
Bernard Antony animera ce soir à partir de 18 heures sur Radio-Courtoisie l’émission de la Réplique.

lundi 19 mars 2012

 Paris, 14 h.

Bernard Antony, président de l’AGRIF, président de Chrétienté-Solidarité-Persécutions, communique :

Aujourd’hui, 19 mars 2012, après l’odieux assassinat récent de trois parachutistes , le massacre ignoble d’enfants juifs et d’un professeur israélien ne rendent que plus intolérables les concerts de louanges décernés ce jour même, sur France-Inter, aux terroristes assassins de tant de nos compatriotes français d’Algérie, chrétiens, juifs et musulmans entre 1945 et 1962.

Les responsables de Chrétienté-Solidarité-Persécutions, catholiques, coptes, orthodoxes et évangéliques, œuvrant notamment à Toulouse pour les chrétiens rescapés des massacres dans les églises d’Irak, d’Égypte et du Nigéria, partagent la douleur des familles des parachutistes et de la communauté juive. Ils appellent à une immédiate interruption des programmes médiatiques d’éloge des terroristes du FLN, assassins de milliers d’hommes, de femmes et d’enfants en Algérie.
                                                                         .
   AGRIF                                                             
                                                   Bernard Antony, président de l’AGRIF, communique :

19 mars 1962 : ce ne fut pas un « cessez-le-feu » mais un permis de tuer et de torturer pour les bourreaux racistes de la haine antifrançaise.

Voici qu’aujourd’hui encore, à Toulouse, une municipalité négationniste de la vérité historique débaptise le pont Bayard sur le canal du Midi pour l’identifier avec la plaque du mensonge et de la honte : « 19 mars 1962 – Cessez-le-feu en Algérie ».

Cette date, nul ne peut le nier aujourd’hui, marqua en effet non seulement la plus mauvaise des solutions politiques possibles de la tragédie algérienne mais la décision cynique d’une interruption volontaire de solidarité avec nos compatriotes français d’Algérie, chrétiens, musulmans ou juifs. La présence française entre Maroc et Tunisie succédant à la cruelle domination ottomane, pirate et esclavagiste, n’avait certes pas été exempte de politiques contradictoires, d’erreurs jacobines et d’injustices. Mais elle avait néanmoins créé l’Algérie.

Dans cette Algérie, s’effectuait dans les années 50 de l’après-guerre un très important mouvement de rencontre et de fusion dans l’identité politique et culturelle française de toute une élite de plus en plus nombreuse, arabe ou kabyle. Si ce n’avait pas été le cas, il n’aurait pas été nécessaire au FLN pour s’imposer d’éliminer des milliers de personnes selon une politique de terreur dans la systématisation de l’atrocité. Dix-sept membres de la seule famille du Bachaga Boualem furent ainsi odieusement assassinés.

Le 19 mars 1962 fut marqué par l’immense déshonneur de l’ordre donné à notre armée de désarmer les supplétifs fidèles, de ne plus intervenir, de ne plus secourir tout un peuple dans ses diverses composantes d’origine européenne ou maghrébine.

Par dizaines de milliers, les harkis furent abandonnés, livrés aux pires sévices dont la cruauté humaine monstrueuse est capable ; des compatriotes chrétiens, juifs ou musulmans furent enlevés, massacrés à proximité des casernes et des camps d’une armée française puissante.

Par centaines, des femmes de nos compatriotes, d’Oranie surtout mais d’autres régions aussi, furent enlevées, violées, emportées vers les maisons d’abattage de la soldatesque fellagha. Dans l’indifférence complaisante du général Katz, le bourreau d’Oran, le très décoré complice de crimes contre l’humanité.

Le 19 mars signifiait aussi la mainmise par une nomenklatura socialiste corrompue et incapable sur un pays en plein développement, riche non seulement des infrastructures et de l’agriculture, fruits de l’œuvre française, mais encore de la manne gazière et pétrolière du Sahara qu’on lui abandonnait.

Et alors, par centaines de milliers, par millions, des Algériens immigreraient en France pour pouvoir faire survivre avec leurs salaires et secours sociaux leur riche pays livré à la gabegie de ceux qui en avaient chassé cette France où certains qui manquent de vergogne exigent de vivre mieux.

Commémorer le 19 mars 1962, c’est tout de même une belle ignominie, celle d’une continuité historique de non-repentance d’une grande abjection barbare.                                 

jeudi 15 mars 2012

Bernard Antony, président de l’Institut du Pays Libre, communique :


C’est Jeannette Bougrab qui défend « l’immonde » : la barbarie de la culture de mort !

La secrétaire d’État à la jeunesse du gouvernement Sarkozy-Fillon a qualifié « d’immondes » les propositions de Marine Le Pen de non-remboursement systématique des avortements.
Mais c’est sa position à elle qui est très exactement, très précisément « immonde » puisqu’elle prône sans réserve la liberté d’interdiction du droit de naître au monde de l’être le plus innocent et le plus chargé d’espérance qui soit : l’enfant conçu.
On vérifie avec cela combien la position de Marine Le Pen qu’on préfère à celle de Bougrab est insatisfaisante et même intenable durablement.
De deux choses l’une en effet :
-Ou l’on ne considère pas le fœtus dans le sein de la femme comme un être humain mais comme un phénomène ennuyeux dont on peut thérapeutiquement se débarrasser.
-Ou bien on ne nie pas l’évidence que l’embryon est une personne humaine en développement dont le respect de la vie innocente est l’impératif moral le plus fondamental.
Si Marine Le Pen tenait la position claire du principe moral du respect de la vie et du refus de l’avortement assorti de toute la compréhension et prise en compte par la loi des situations de détresse, personne ne pourrait se risquer facilement à qualifier « d’immonde » sa position politique de refus du financement d’un acte de mort.
Car la question essentielle n’est pas dans le remboursement ou non de l’avortement. Elle est dans l’acceptation ou non du « Tu ne tueras pas », commandement fondateur du respect de la vie innocente et du droit de naître.
Point n’est besoin d’être chrétien pour tenir cette position.Il suffit d’être simplement humain.
L’Institut du Pays Libre procède en ce moment à la notation des candidats à l’élection présidentielle sur les critères fondamentaux de ce que devrait être une politique pour la France, l’Europe et les valeurs de la civilisation. Il est évident que l’on ne saurait noter mieux sur le critère du respect de la vie le candidat Sarkozy, dont Jeannette Bougrab est la porte-parole sur ces questions très fondamentales, que Marine Le Pen.
On ne voit pas non plus hélas sur ce point d’autres candidats moins pires que Sarkozy ou moins décevants que Marine Le Pen.

mardi 13 mars 2012

Pour une fois, d’accord avec Caroline Fourest :
musulmanophobes, non !
Mais nous sommes d’autant plus « islamo-négatifs » !

Caroline Fourest, que nous poursuivons pour diffamation devant le tribunal correctionnel de Toulouse, affirmait naguère dans Charlie-Hebdo ne pas voir d’inconvénient à ce que l’on jette à nouveau les chrétiens aux lions

Dans le plus total mépris de ce qu’il n’y a pas si longtemps, notamment dans l’empire ottoman d’Abdul Hamid II et puis sous les Jeunes-Turcs, pire encore que d’être jetés aux bêtes, ils avaient subi les pires massacres et le génocide. Les témoignages sont irréfutables des abominations d’un sadisme et d’une cruauté hallucinante, avec ses scènes indéfiniment répétées dans la variation de l’horreur, des hommes émasculés, écorchés ou découpés vivants devant des femmes et jeunes filles épuisées de viols, les seins ensuite arrachés, la bouche bourrée de la chair de leurs enfants et dans d’autres cas, l’inverse.
C’est cela que l’on a appelé le génocide arménien et qui fut aussi celui des chrétiens assyro-chaldéens et des autres communautés des Églises d’Orient

Avant, il y avait eu bien sûr les immenses horreurs du génocide vendéen enfin moins occulté, faisant même l’objet de l’émission sur France 3 dont Jeanne Smits a fait un excellent compte-rendu dans Présent du mercredi 7 mars.
Après, il y aura  encore les génocides perpétrés par le communisme. Mais si j’évoque encore aujourd’hui plus spécialement le sadisme des tortionnaires turco-ottomans, c’est que quelques-uns, sur la question de leurs génocides, me disent «  Pourquoi perdre son temps sur cela ? Parlez-nous plutôt de la France ! » Comme si je ne parlais pas sans cesse de la France et de nos combats pour la préserver de ce « génocide français » dont j’ai, le premier, employé l’expression dès 1976, génocide spirituel, culturel, physique enfin ; génocide par substitution par la convergence des flux massifs d’immigration et de la mise à mort au fil des années de millions d’enfants privés du droit de naître.
Mais, comment ne pas voir que, lorsque je commente l’immense manifestation turque en plein Paris, devant le Sénat, c’est bien de la France des menaces qui pèsent sur elle que je parle ?

Caroline Fourest qui, espérons-le pour elle, n’a peut-être pas pesé qu’on livrait toujours dans nos temps modernes des chrétiens à des monstres plus cruels que des lions, en revanche se soucie du sort des musulmans chez nous. Et elle a raison ! Et nous aussi, nous nous en soucions.

Elle déclare s’opposer aux « musulmanophobes ». Il se trouve que c’est très exactement le mot que nous avons souvent utilisé pour bien faire comprendre que si nous refusons énergiquement l’islam, non seulement nous ne sommes pas « musulmanophobes » mais nous aimons les musulmans comme Charles de Foucauld nous en adjurait.
Dans l’amour du Christ.

Nous, nous œuvrons, agissons, militons avec nos frères et sœurs, de plus en plus nombreux, héroïquement convertis de l’islam au christianisme. Non quelquefois sans risque de mort.

Alors, « musulmanophobes » ? Non ! Mais « islamo-négatifs » ? Oui, assurément !

Et dans l’espoir que la charité du Christ libèrera les musulmans de l’islam

PS. Il faut lire par exemple, si l’on veut connaître ces horreurs, « Les chrétiens aux bêtes » du père Jacques Rhétoré (CERF) ou quelques-uns de ceux édités par le cercle d’Écrits Caucasiens de notre ami Hratch Bedrossian, tel que « La passion de la Cilicie » de Paul Remusat du Véou, ce grand officier de l’armée française et grand résistant (réseau Frenay) témoin dans sa vie de combattant des abandons successifs imposés à l’armée française, des chrétiens de Cilicie (Turquie) en 1920, des catholiques du Tonkin en 1954 et des harkis (et des autres) en 1962

lundi 12 mars 2012

François Hollande supprimant la « race », oui, c’est vraiment pire encore qu’un manieur du déconomètre, c’est tout simplement un con.

Bernard Antony, président de l’AGRIF, communique :

Après que sa proposition fiscale sur le barème des 75 % ait fait justement reprendre par François Bayrou une expression de Michel Audiard sur « le déconomètre fonctionnant à pleins tubes », François Hollande a sans doute encore voulu prouver qu’il était vraiment un très grand dans l’ordre de la connerie idéologique.

Il a donc prévu s’il était élu de supprimer le mot « race » de l’article premier de la constitution. Sans doute pense-t-il ainsi dans une sorte de confuse crédulité kabbaliste abracadabrantesque (abracadabra signifie en araméen : « il a créé comme il a parlé ») que si l’on peut créer en prononçant un mot, on peut décréer en le supprimant !

Ainsi, plus de mot, plus de race ! Et le tour est joué.

L’argument socialiste en faveur de cette éradication tient au fait qu’au nom de la race on aurait fait bien des mauvaises actions. Mais n’en a-t-on pas fait d’aussi vilaines au nom de la classe, de la nation, de la religion, et même au nom de la liberté et au nom de l’égalité aussi ?

Bigre, que de mots alors à supprimer ! Mais si plus de race, alors plus de racisme, ni d’antiracisme, et comment alors parler de métissage (entre quoi ?) et de diversité ?

Comme si le mot de race ne recouvrait pas simplement un déterminant parmi d’autres de la réalité humaine et justement de l’heureuse diversité de la nature humaine ?

Alors va-t-il falloir dans la logique hollandiste expurger aussi le mot race de la Bible et du Talmud, des œuvres de Voltaire et de Montesquieu, de Rousseau, de Taine et de Renan, de Marx et d’Engels, de Ferry, de Jaurès, de Clémenceau et de Blum, de Senghor et de Mandela.

Du travail en perspective d'abord pour les penseurs de gauche qui devront montrer l’exemple de la vigilance idéologique politiquement correcte !

Ensuite, dans la foulée, il faudra bien sûr expurger pour le moins cinq cent mille penseurs et écrivains de tous pays et de toutes races ! Car tant que demeurera le mot dans quelque livre de quelque recoin de bibliothèque, le danger de réapparition de la réalité subsistera. Du travail donc, pour les manieurs de ciseau de l’intelligentsia de la gauche hollandiste.

À vrai dire, résidait là un des secrets de Hollande, celui de la création nécessaire de cent mille postes d’épurateurs de bibliothèques et d’un million de surveillants de la pensée correcte.

Même le président Mao, « ce phare de la pensée universelle » selon Mr Giscard d’Estaing, n’aurait pas imaginé cela !

Mais que faire aussi pour le prochain salon de l’agriculture où l’on exalte, entre autres, les diverses races bovines, porcines, ovines, chevalines.  Désormais, seul sera accepté le mot déjà assez usité de « filière » !

Et comme on ne saurait, selon l’idéologie correcte, conserver plus longtemps la discrimination entre un pseudo « règne humain » et les autres règnes animaux, ne faudra-t-il pas appliquer également à l’animal « homme » ce vocable de « filière », peu discriminant ?

On parlera ainsi de « filière latine » ou de « filières nordiques », voire même, aux limites de la sécurité idéologique, de filières blanches, jaunes ou noires. 


Pour l’instant, avec le camarade Hollande, la filière de la connerie se porte bien !

jeudi 8 mars 2012

RECONQUÊTE n°286

A commander au Centre Charlier,
70 bd Saint-Germain 75005 Paris.
7 € franco de port le n°.
Abonnement annuel (10 n°) : 50 €

mardi 6 mars 2012

Bernard Antony, président de l'Institut du Pays Libre, Communique:
Marine Le Pen agressée ignoblement sur Brasillach par l’indécent Michel Field !
Que ne l’a-t-elle renvoyé dans ses buts en lui causant d’Aragon, de Sartre, Picasso et autres ordures morales des collaborations Hitlero-stalinienne ?
Hier au soir, dans un débat qui devait porter sur les élections présidentielles et dont Marine Le Pen était l’invitée avant Luc Mélenchon, le journaliste Michel Field, ancien vociférateur gauchiste et militant en bas de résille de différentes causes péripatéticiennes sur les fronts du bois de Boulogne, s’est livré contre elle à une indécente et révoltante agression.
Quoique pas inconditionnel de Marine Le Pen pour des raisons de non adhésion à certains de ses thèmes d’inspiration étatiste et socialiste, je tiens à exprimer en l’occurrence mon indignation et entière solidarité avec elle face à cette attaque d’un impudent dinosaure lénino-trotskiste sans repentance aucune pour la collaboration de son clan idéologique avec le plus gigantesque système d’extermination de tous les temps.
L’attaque venait à propos de je ne sais quelle citation de Robert Brasillach par Jean-Marie Le Pen. On peut, comme moi, regretter la ligne collaborationniste de cet indubitable grand écrivain qui, fusillé encore très jeune en 1945, n’avait sans doute pas livré l’essentiel de l’œuvre que son grand talent laissait pressentir.
Mais Robert Brasillach qui s’était livré à la police pour ne pas laisser en prison sa mère prise en otage tant qu’il ne se livrerait pas, fit face tranquillement à ses accusateurs et affronta la mort avec un grand courage salué notamment par d’éminents écrivains et grands résistants autres que Michel Field.
Quoi que l’on en pense, il paya donc de sa vie son engagement. Il reste aujourd’hui de lui de très beaux romans et plus encore peut-être ses œuvres d’un sens renouvelé et très vivant de la critique littéraire.
Est-il donc interdit de le citer alors que l’on peut, sans aucun risque de lynchage médiatique, écrire que l’on aime des vers d’Aragon ?
Or Aragon ne fut-il pas sur le plan politique une abominable crapule stalinienne ?
Ce surréaliste, surréalistement odieux, encensa en effet d’une manière stupéfiante les exterminations de la tcheka et du guépéou. Il versifia sur « l’éclat des fusillades » et lança, à la mort de Staline, avec des gémissements de pleureuse professionnelle des enterrements siciliens ou orientaux, les stances de son désespoir devant la mort du « plus grand philosophe de l’histoire » qui en fut peut-être, le camarade Mao étant en compétition, le plus grand exterminateur.
Aragon, lui, pour son encensement des exterminations génocidaires, n’a pas été fusillé mais couvert d’honneurs. Comme le furent bien d’autres crapulissimes artistes et penseurs communistes tel Picasso, résistant pendant toute la guerre, non pas au Fouquet’s mais chez Maxim, ou encore le crapoteux Jean-Paul Sartre, certes grand résistant « en son fors intérieur, bien sûr… » mais dans la jouissance de faire jouer ses pièces devant le gratin des officiers de l’armée allemande d’occupation.
Il est un peu dommage que Marine Le Pen, qui a par ailleurs du répondant, n’ait pas répliqué ainsi au venimeux archéo-bolchevique Michel Field au demeurant psychanalytiquement intéressant dans le mode de haine qui l’emportait.

jeudi 1 mars 2012

                                                      
    AGRIF 
                           Bernard Antony, président de l’AGRIF, communique :


SUR LA RECONNAISSANCE DES GÉNOCIDES.

Une double nécessité s'impose pour la cohérence intellectuelle et juridique de la reconnaissance des génocides par la République Française : 
- les reconnaître dans un égal respect des peuples martyrisés, 
- abolir la loi Rocard-Gayssot qui, punissant seulement la discussion et la négation des crimes du nazisme, a abouti à en faire un constant élément de propagation du négationnisme fondé sur l’argument selon lequel elle dissimulerait un tabou à ne pas enfreindre.

Proposition d’un projet de loi à soumettre à l’Assemblée Nationale.

L’Assemblée Nationale de la République Française,

« considérant l’importance dans la vie des nations défendant les principes du respect de la vie des peuples, des communautés et de la dignité de la personne humaine ; de reconnaître, sans aucune sélection ni discrimination, tous les génocides indéniablement avérés par l’évidence des témoignages, des récits, des images et des études historiques les plus sérieuses ;

« considérant qu’il ne revient à la loi de la République ni d’imposer une vérité historique ni de punir des contestataires de ces reconnaissances pouvant affirmer des convictions contraires selon le droit à la liberté de pensée et d’expression dans la limite des lois réprimant l’injure et la diffamation ;

« considérant les effets pervers, à l’exact contraire du but recherché, de la loi Rocard-Gayssot, réprimant seulement la négation des crimes contre l’humanité du seul système nazi d’extermination ;

« observant que cette loi de plus en plus perçue comme constituant la protection d’un tabou, instille le doute et  concourt ainsi à relativiser l’horreur nazie ;

« rappelant les réflexions judicieuses et prophétiques de l’écrivain et publiciste Annie Kriegel, haute personnalité de la communauté juive et militante contre le totalitarisme communiste, écrivant dans Le Figaro du 3 avril 1990 les lignes suivantes : « En confiant au pouvoir judiciaire la tâche détestable de paraître traquer le délit d’opinion et d’expression, en espérant de la concurrence entre organisations « antiracistes » une obsessionnelle chasse aux sorcières qui présente les mêmes excès que n’importe quelle chasse de cette nature, en s’abritant derrière des institutions juives inquiètes pour légitimer une insupportable police juive de la pensée, Michel Rocard devrait s’interroger en conscience s’il ne se prête pas à une assez répugnante instrumentalisation des concepts de racisme et d’antisémitisme en vue d’objectifs peu avouables » ;

« observant que l’interdiction de toute autre loi de répression de la négation de quelque autre génocide conduit à une exaspération légitime des ressortissants des autres peuples génocidés tels que les Arméniens, Cambodgiens ou ukrainiens qui ne sont pas moins dignes de compassion et de mémoire que le peuple juif ;
« entendant replacer la loi sur les génocides dans le respect des principes républicains de liberté, d’égalité et de fraternité ;

Abolit la loi Rocard-Gayssot du 13 juillet 1990.

Proclame la reconnaissance par la République Française, et la condamnation solennelle de la conscience humaine, de tous les crimes contre l’humanité et génocides perpétrés contre des peuples par des régimes exterminationnistes pour des raisons d’appartenance à une règle ou à une classe, à un peuple, ou à une religion et notamment, dans la succession chronologique :

-          Le génocide vendéen décidé par le régime de la Terreur.

-     Le génocide des Arméniens et autres chrétiens d’Orient perpétré dans la suite des massacres de l’empire ottoman par le régime des Jeunes-Turcs et parachevé par le régime kémaliste.

-          Le génocide du peuple juif perpétré par le système nazi.

-         Les génocides de classes sociales et de peuples perpétrés par les régimes communistes, et notamment les exterminations des paysans en URSS, des Baltes et des Ukrainiens, des Cambodgiens et autres, tels que désormais recensés dans l’œuvre scientifique du Livre Noir du communisme.

Reconnaît aussi l’étendue génocidaire des crimes épouvantables perpétrés contre les « harkis » abandonnés par la République lors de l’indépendance algérienne, sans oublier ceux également perpétrés contre la population des Français d’Algérie d’origine musulmane, juive, européenne.

Laisse à la justice le rôle de sanctionner les atteintes injurieuses ou diffamatoires à la mémoire des peuples martyrisés.

Souhaite, à partir de nos académies et de nos institutions judiciaires, la création d’une institution chargée d’étudier et de procéder à la reconnaissance des crimes contre l’humanité et des génocides.