mercredi 27 février 2013

Reconquête n° 295


Pinkscandale : suites judiciaires.


Bernard Antony, président de l’AGRIF, communique :

 Il va de soi que l’AGRIF ne laissera pas davantage passer l’injure aux chrétiens par l’abominable discothèque le Pink à Hyères que celle de la profanation de la chapelle de la base navale de Toulon.

D’ores et déjà l’AGRIF a chargé ses avocats de mettre en œuvre la procédure qui s’impose. Elle ne manquera pas de tenir informés ses adhérents en particulier, et l’ensemble des chrétiens français de son déroulement.

jeudi 21 février 2013

RADIO-COURTOISIE : MERCI AUX AUDITEURS !


Merci aux auditeurs nombreux qui ont appelé ce matin pour exprimer leur satisfaction après notre émission d’hier au soir avec Cécile Montmirail, Jeanne Smits ainsi que Guillaume de Thieulloy en première partie et l’abbé Guillaume de Tanoüarn en deuxième.

Notre prochaine émission de la réplique sera le mercredi 20 mars, mais auparavant je reviendrai au micro le 4 mars à l’invitation d’Henry de Lesquen pour parler de mon livre sur Jaurès et donc des socialistes aujourd’hui, notamment de l’idéologue jauressolâtre Vincent Peillon.

Dans ma région les socialistes qui tiennent tout dans la politique, l’« éducation » et les médias, annoncent les grandes manifestations de la commémoration.
Je ne me fais pas beaucoup d’illusions sur la possibilité que j’aurai d’exprimer mes considérations non conformistes sur le grand « prophète » du socialisme. Déjà, néanmoins, un hebdomadaire régional entend m’interroger. Et je m’exprimerai bien sûr au cours de différentes réunions.

Très pris cette fin de semaine, vous ne me retrouverez sur ce blog, si Dieu le veut, que lundi prochain. Prions pour que, d’ici là, la famille enlevée par les islamistes au Cameroun, avec quatre enfants, soit libérée.
Je me suis exprimé hier au soir à la radio sur cette tragédie et la honte d’apprendre que le pitoyable gouvernement va encore diminuer le budget de notre défense nationale.

mardi 19 février 2013

Pétition:Pour la mise hors d’état de nuire des Femens.


                      Appel de l’AGRIF
  
Considérant que le groupement de section d’assaut du lobby LGBT-OGM des « femhaines » ne cesse de se livrer à de violentes provocations antichrétiennes.

Observant qu’en Ukraine ces femhaines se sont très exactement comportées comme les talibans en Afghanistan, en démolissant des œuvres d’art religieux.

Rappelant l’évidence que nul ne saurait contester que si elles s’avisaient de faire de même irruption dans la grande mosquée de Paris  ou dans la grande synagogue, elles seraient immédiatement mises hors d’état de nuire, incarcérées, jugées en flagrant délit et leur organisation dissoute.

N’acceptant pas que les chrétiens soient donc traités comme des citoyens de catégorie inférieure, comme véritables parias devant supporter indéfiniment non seulement les injures et la dérision mais désormais les voies de fait et les agressions délibérés.

Dénonce le climat de racisme qui se développe contre eux, rappelant les périodes annonciatrices des persécutions et exterminations perpétrées par le jacobinisme, le nazisme et le communisme, selon les cas contre les chrétiens ou contre les juifs.

Considérant que le groupe relève de l’article L212-1 du code de la sécurité intérieure stipulant que : « Sont dissous, par décret en conseil des ministres, toutes les associations ou groupements de fait qui, soit provoquent à la discrimination, à la haine ou à la violence envers une personne ou un groupe de personnes à raison de leur origine ou de leur appartenance ou de leur non-appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée, soit propagent des idées ou théories tendant à justifier ou encourager cette discrimination, cette haine ou cette violence. »

Réclame du gouvernement la dissolution du groupe raciste des femhaines.

****************

Premiers appelants :
- Bernard Antony, président de l’AGRIF.
- Jeanne Smits, directrice de Présent.
- François Foucart, informateur religieux.
- Richard Haddad, éditeur.
- Jérôme Triomphe, avocat au Barreau de Paris.
- Anne-Charlotte Lundi, Livres en Famille.
- Pierre Bernard, ancien député-maire de Montfermeil.
- Louis Chagnon, professeur d'histoire.
- Daniel Hamiche, Observatoire de la Christianophobie.
- Guillaume de Thieulloy, rédacteur en chef "Les 4 Vérités".
- Cécile Montmirail, journaliste, vice-présidente de l'AGRIF.
- Pierre Henri, politologue.

Sans attendre, adressez-nous vos signatures et celles de vos proches.

Monsieur                                                   
Madame
Mademoiselle

Adresse postale ou courriel :


Tél (facultatif) :

S’associe à la pétition de l’AGRIF exigeant la dissolution du groupe raciste antichrétien appelé femhaines.

Signature:



Pour signer la pétition en ligne sur le site Agrif cliquez sur ce lien:
http://www.lagrif.fr/communiques/racisme-antichretien




lundi 18 février 2013

Misérable arrogance pro-femhaine de Thomas Legrand ce matin sur France-Inter.


Bernard Antony, président de l’AGRIF, communique :

Accomplissant sa fonction bien rétribuée, grâce aux impôts de tous, de provocateur officiel anarcho-gauchiste douillettement installé sans contradiction ni contestation, Thomas Legrand a ce matin exprimé sa grande sympathie pour les femhaines.

Selon lui, ces douces personnes ne se sont livrées à Notre-Dame de Paris qu’à une ingénue provocation de potaches sans aucune violence, ayant été en revanche durement agressées par le service de sécurité de la cathédrale. On mesurait à l’entendre la véracité impérissable de la fable du loup et de l’agneau.

Dans la jouissance perceptible de son ricanement, Legrand a continué en assénant les diverses considérations selon lesquelles les femhaines d’ailleurs pas plus déshabillées que le Christ crucifié ne s’en prenaient pas aux croyants mais à l’institution rétrograde de l‘Église catholique ; qu’elles exerçaient le fondamental droit laïque au blasphème, moins provocantes que les manifestants hostiles au « mariage pour tous » réclamant devant l’Assemblée Nationale, selon son gros mensonge, l’internement des homosexuels.

Ainsi doit-on supporter sans cesse, dans les émissions de France-Inter, injurier, moquer, vilipender la religion chrétienne et ses fidèles.

L’anti-christianisme est ainsi devenu à nouveau comme le fondement idéologique d’une étrange république, vraiment pas pour tous.

jeudi 14 février 2013

Si l’Attentat, en France, réussit, la dissociation diabolique n’en restera pas là.


« Lorsque les bornes sont dépassées, il n’y a plus de limites » disait je crois l’excellent humoriste de L’os à moelle, Pierre Dac.
L’écoute des radios à laquelle je consens pendant mon café du matin, et notamment France-Inter payée avec nos impôts, suffit pour le comprendre.

Ce matin on nous parlait sur France-Inter de l’une de ces initiatives que le ministère du jauressolâtre Peillon encourage, à savoir l’introduction à l’école, dès la maternelle, de bandes dessinées ou de vidéo d’éducation sexuelle, transexuelle, et transérotique, avec les exemples des pratiques des animaux dont il faut bien rappeler de plus en plus qu’ils sont nos semblables. Pauvres animaux que l’on veut dénaturer aussi autant que les humains !

A ce que j’en ai entendu, on évoque d’ailleurs dans ces instruments pédagogiques, les pratiques des cousins des chimpanzés, et donc de nous,  ces extraordinaires singes appelés bonobos qui, dit-on, sur les branches voire entre deux branches, ne font pas beaucoup la guerre mais sans arrêt « l’amour » au sens où on l’enseigne désormais dans les écoles publiques et même dans l’enseignement dit libre.
On se souvient que j’avais d’ailleurs envisagé, devant l’excès de propagande homophile et bisou-bisou de Frigide Barjot et son projet de char pour les zomos, d’organiser un char aussi pour les bonobos afin de bien prouver, qu’à La Marche pour tous, l’on n’était pas bonophobes. Il faut bien quelquefois, pour garder le moral, ironiser gauloisement sur la débandade sans limite des mœurs avant de vérifier hélas que l’affliction sera réalité.

Or, voici que déjà de la médiacrasserie exsudent les expressions des nécessités de légalisation de la pédophilie. On n’a que l’embarras du choix pour trouver à cette fin des psychanalystes.
Déjà frétillent d’aise à cette perspective quelques politiciens rouges-verts et écololâtres, fanatiques négationnistes de la nécessité de défendre aussi la nature humaine puisque selon Marx et quelques autres, ce serait un concept réactionnaire.

Alors, observez bien les choses, on prépare déjà les « enseignants » et les élèves à cette grande perspective d’émancipation. Et déjà aussi s’annonce la légitimation de l’inceste : on va apprendre aux petits enfants la vie des incestes plus encore que celle des insectes. Tout ira donc pour le mieux dans le meilleur des mondes sodomite et adoptif ? Pas encore cependant, il y aurait manqué la légalisation de la zoophilie. Rassurez-vous si je puis dire, cela va venir. Déjà en Allemagne des groupes la réclament. Pauvres animaux ! Mais déjà on a bien vu en une anticipation prophétique le film « Max, mon amour ». Demain Christiane Taubira saluera-t-elle le triomphe démocratique du mariage possible avec le gorille de Médrano ou les gibbons du jardin des plantes ?

Oui, au train où vont les choses dans le « Lesbian-Fourest-world » on verra peut-être quelques femhaines en transgression d’homosexualité et en mal de mâles éprouver le désir du gorille. Alors, on en verra peut-être quelques unes peupler quelque harem révolutionnaire.

Bernard Antony

mercredi 13 février 2013

Conséquences politiques et électorales durables selon les attitudes par rapport à « l’Attentat ».



Comme nous l’avons précédemment mis en relief, le projet de loi de pseudo-mariage homo est très précisément le projet de l’Attentat absolu perpétré par l’orgueil humain visant à faire table rase de ce qui a été depuis l’aube de l’humanité jusqu’à ce jour la loi naturelle indéniable pour tous et, pour les croyants, la loi du Dieu Créateur.

L’attentat vise au cœur l’essence de la réalité humaine, dissociant le couple homme-femme constitutif du genre humain selon la Révélation même de la Genèse. Cette dissociation est d’inspiration parfaitement diabolique, le diable, selon l’étymologie même du mot qui le désigne (du grec  diabolos : « celui qui désunit »), étant le grand diviseur.

Tout le monde sent ainsi, plus ou moins confusément ou clairement, que le projet de loi de dissociation du mariage est le fruit idéologique d’une conception orgueilleuse de l’homme voulant s’ériger en décideur, et même en producteur de la vie et de la mort.

Les hommes politiques prétendant nous représenter et nous gouverner ne peuvent être tenus pour incapables de comprendre cela. D’une part, les réflexions sur l’homme « apprenti-sorcier » ne datent pas d’hier. De l’autre, cette idéologie simultanément constructiviste et nihiliste, sous couvert de la récupération du mot « humanisme », constitue depuis trois siècles le fond permanent et le but des cheminements initiatiques symboliques de la franc-maçonnerie moderne subvertie et subversive.

Tous ceux qui refusent par bon sens naturel ou par conviction religieuse le projet de loi de radicale dissociation sociale ne pourront donc pas voter pour ceux qui l’ont de fait approuvé par une abstention poncepilatesque, ou encore, ont tenu, en termes pesés, à donner à leur refus de manifester une motivation « symbolique »…  très réfléchie.

Aussi les Français du pays réel, du pays libre, ne voteront évidemment plus sur une étiquette.

Par exemple, quels que soient par ailleurs nos désaccords, on préfèrera voter pour une Christine Boutin plutôt que pour une Marine Le Pen qui, par ailleurs, comme l’exprimait samedi l’excellent Eric Zemmour, est « une femme de gauche et même, sur certains plans, d’extrême-gauche ».

Ce qui précède fixe la ligne de positionnement et de mot d’ordre politique et électoral de l‘Institut du Pays Libre.

mardi 12 février 2013

L’AGRIF poursuit les « femhaines » et exige leur dissolution


Bernard Antony,Président de l’AGRIF, communique :
 Ce jour à Notre-Dame de Paris, les « femhaines » se sont livrées à une nouvelle abjecte provocation antichrétienne. Pourquoi se gêneraient-elles ? Les pouvoirs publics ne s’opposent évidemment pas à leurs débordements de pauvres filles déjantées, peut-être hystériquement fanatiques pour certaines, mais plus vraisemblablement très grassement payées pour d’autres. Et on a même vu que ce sont ceux qu’elles assaillent qui sont dénoncés comme provocateurs. Ces « femhaines » ne sont en fait, puisqu’il n’y a plus désormais de sexe qui vaille,  que les hommes de main des milliardaires pervers du lobby LGBT. Elles sont sans cesse approuvées, encouragées, excitées par Caroline Fourest, la grande diva des médias homocratiques heureusement bien moins dévêtue qu’elles pour sa santé et l’esthétique du spectacle.

L’AGRIF, dont les dirigeants chrétiens ne confondent pas l’esprit de paix et de tolérance avec l’acceptation passive des pires injures faites, a chargé ses avocats au Barreau de Paris de diligenter la procédure qui s’impose contre ces auteurs de la haine antichrétienne. Au demeurant on n’ose imaginer ce qui se produirait si des mêmes salopes fourestiquement encouragées allaient se produire pareillement dévêtues dans une mosquée, une synagogue ou un temple hindou voire même une loge maçonnique. On finira bien par s’apercevoir que la patience des chrétiens a aussi ses limites. Ne lit-on pas dans l’Évangile : « Malheur à ceux par qui le scandale arrive ».

L’AGRIF exige également du gouvernement que soit dissoute cette organisation propagatrice d’une haine incitatrice à la guerre civile rappelant les heures les plus noires des hystéries anti-religieuses.


L’Attentat absolu.


Bernard Antony communique :

La majorité des députés français qui ont eu le temps de la réflexion ont donc voté, en toute conscience, - et s’abstenir revenait hypocritement au même – leur participation à la deuxième phase du plus grand des attentats dûment réfléchis de l’histoire de l’humanité : l’attentat contre les lois de la vie.

La première phase, mûrie par les conducteurs de l‘orgueil humain de décider de l’entrée dans la vie ou de la suppression du droit de naître des êtres humains, a été celle de la justification de l‘avortement appelé par un tour de passe-passe sémantique IVG.

Aujourd’hui la réussite de la seconde phase de l’Attentat, si la nation française dans un élan salvateur ne pouvait l’éviter, comme cela est encore possible, signifierait une nouvelle victoire de l’idéologie nihiliste dans sa formulation appelée « théorie du genre ».

Contre la réalité de l’humanité selon sa Création telle que constituée et continuée au long des millénaires, c’est à l’interruption volontaire du genre humain que se livre la moderne confédération orgueilleuse et dominatrice des nouvelles Sodomes et Gomorrhes.

C’est le mépris le plus absolu de cette Création telle que, dans la Bible, le texte de la Genèse, dans toutes ses significations, littérales, métaphoriques ou symboliques, nous en transmet le pourquoi :
                                        « Dieu créa l’homme à Son image…
Homme et femme Il les créa. » (Gen – 1, 27)

Ce sont là les deux lignes les plus chargées de sens, au cœur de la Révélation, non seulement pour les Juifs et les Chrétiens mais pour tous les hommes.

L’Attentat contre la loi de la réalité humaine porte naturellement contre les plus grands attributs constitutifs de sa nature : la langue et la pensée. En changeant la signification des mots ( sexe, mariage, père, mère, paternité, maternité ) ou en les supprimant, ( race ), on va au bout de la logique de subversion absolue, d’éradication de l’être même au sens strict du projet : « Du passé faisons table rase ».

Nous, nous continuerons à démonter les mécanismes de l’idéologie du mal et de la mort, à refuser la domination de leurs promoteurs, à nous battre pour la vérité de ce que nous sommes et la liberté de la proclamer. Notre devise, universelle, tient en deux mots : « Vérité, Liberté ».


lundi 11 février 2013

Benoît XVI : notre immense gratitude !


Bernard Antony, président de l’AGRIF, président de Chrétienté-Solidarité, communique :

J’ai reçu ce jour à 13 heures, comme un coup au cœur, la nouvelle du retrait de sa charge de Benoît XVI.

Peu avant le déjeuner, je venais de terminer la lecture de la rédaction de mon premier cahier d’entretien mémoriel avec Cécile Montmirail. Dans les dernières pages, sur le coup de midi, j’y évoquai ce grand pape que j’ai beaucoup lu et admiré, à qui je dois de m’avoir tant conforté dans ma foi et mon espérance par sa luminosité et sa charité.

Puisse, après celle de Jean-Paul II, si positive sur l’essentiel, son œuvre considérable de réanimation de l’Église Catholique être continuée par son successeur alors qu’avec les ennemis de l’Église et des complicités intérieures une très évidente offensive luciférienne vise à la désintégration de l’unité humaine dans la complémentarité d’Ève et d’Adam décrite dans la Genèse, premier livre de la Bible.

Ma conviction intime est que nous aurons à remercier Benoît XVI d’une décision qui n’est pas un abandon mais un choix lucide de transmission.

vendredi 8 février 2013

Mali : mission superbement accomplie par notre armée ! Mais la guerre est partout et on ne veut pas désigner l’ennemi.


Bernard Antony, président de l’Institut du Pays Libre, communique :

Alors qu’on n’a pas cessé de lui diminuer ses effectifs et ses moyens, notre armée, néanmoins, avec ses unités d’élite des forces notamment terrestres et aériennes, a accompli superbement sa mission au Mali. Grâce au courage et à la professionnalisation de ses soldats de tous grades.

Mais l’islamisme dit radical partout dans l’immense Sahel et au-delà en Afrique et en Asie, et aussi en Europe, n’est hélas pas vaincu.

Il n’est pas vaincu d’abord parce qu’on se refuse à le connaître et à le désigner pour ce qu’il est. L’islamisme radical, c’est l’expansion prosélyte, guerrière et aussi terroriste du totalitarisme islamique selon les formes fanatiques du salafisme en général et du wahabisme saoudien en particulier.

L’ Arabie Saoudite et le Qatar nous achètent bien des choses et notamment des armes dont beaucoup vont alimenter les guérillas islamistes.  Surtout ils financent massivement les organisations de propagande et de conquête islamique de l’Occident selon une dialectique d’opposition entre un islam épouvantable et un islam présentable. Moyennant quoi, l’islam avance sans que soient jamais abandonné le modèle du Coran et des Hadiths, la charia et le jihad qui en découlent, la dhimmitude et le statut d’infériorité de la femme.

Or l’islam, comme hier le communisme, ne cessera de progresser que si, d’abord, on défend la liberté d’en réfuter l’idéologie, plus encore si l’on exige de ses États qu’ils admettent la liberté religieuse dans toutes ses composantes et notamment de liberté de conversion, de liberté d’expression, et de liberté du culte.

Il aura été inutile de faire momentanément reculer les islamistes du Mali si l’on persiste à les laisser avancer en Syrie et à Paris.

jeudi 7 février 2013

« Les jeunes Français » vraiment ?


Hier, dans le métro, je lis dans le gratuit « Direct Matin » un article consacré à tous ces jeunes français, d’origine subsaharienne, qui « de la Bosnie au Mali » participent au jihad, « là où se confrontent musulmans et non musulmans ».
Mais nulle part, ou presque, on ne pose la question sans doute politiquement incorrecte de savoir le pourquoi du phénomène de ces jeunes gens n’étant ni d’origine culturelle française, ni ne se sentant français.
La réponse pourrait pourtant être étudiée autour de trois idées :
- L’aberration du code de la nationalité
- L’échec de l’éducation nationale et de la citoyenneté républicaine
- L’identité islamique.

Les chœurs de l’armée rouge !

Incroyable mais vrai ! On continue à programmer à Paris « Les chœurs de l’armée rouge » qui certes ont toujours très bien chanté mais dont le gouvernement russe aurait pu tout de même changer le nom.
L’armée rouge a été en effet pour le moins aussi massacreuse que l’armée allemande du régime nazi, massacrant d’ailleurs de concert en Pologne de 1939 à 1942.
Elle a été l’instrument de toutes les répressions exterminatrices en Russie et dans les pays asservis : Ukraine, Pays baltes, Hongrie, Tchécoslovaquie.
Imagine-t-on que l’on pourrait inviter de même des chœurs de la Waffen SS où on chantait très bien également ?
Il ne faut pas abandonner le combat pour la mémoire de l’abomination communiste. 

mardi 5 février 2013

Homophobie, on sait pas trop ce que cela signifie ! Mais la sodomophobie, oui, nous la revendiquons !


Dans les manifestations en faveur du pseudo « mariage » pour tous , parmi bien des pancartes et banderoles abjectes, beaucoup exaltaient les charmes de la sodomie, chose que l’on retrouve désormais dans des bandes dessinées par des ordures et distribuées par des salopards évidemment avides de pédophilie jusque dans les écoles maternelles avec l’appui du ministère.

Si l’homophobie au sens strict signifie une répulsion irrationnelle à l’égard de son pareil, la sodomophobie n’est pas autre chose que le droit  non seulement de refuser de se laisser empapaouter mais celui de trouver cela d’une dégueulasserie merdique.

Mais alors qu’ils défendent le prosélytisme en faveur des pratiques les plus dégueulasses du sado-masochisme, du sadico-anal et autres gay-délices, les politiques et les occupants  des médias poussent des clameurs d’une indécente tartufferie dans une incroyable néo-pudibonderie lorsqu’on use des mots d’un cru réalisme pour désigner les mœurs du lobby LGBT-OGM.

Or  n’est-ce pas au moins dans les unions des paires masculines la pratique sodomite de leurs adopteurs qu’inéluctablement découvrent les enfants dont ils ont revendiqué le droit à l’adoption pour satisfaire leurs aspirations ?
Mais aura-t-on encore longtemps la liberté de se déclarer sodomophobes ?

Eh bien, face à l’exaltation sodomophile nous entendons faire respecter cette liberté.
Oui nous défendons l’imprescriptible légitimité morale de la sodomophobie.

Conférence au Centre Charlier


Le Centre Charlier
serait heureux de vous recevoir  à l’occasion de la conférence de

Bernard Antony
Président de Chrétienté Solidarité, de l’Institut du Pays Libre
et de l’AGRIF


Mon livre de réplique à la commémoration socialiste :

« Jean Jaurès : le mythe et la réalité »




JEUDI 21 mars 2013 à 19h30 précises

au

Centre Charlier, 70 Boulevard Saint-Germain 75005 PARIS

(métro Maubert-Mutualité, autobus 24, 47, 63, 86, 87, RER B et C Saint-Michel)

Téléphone : 01 40 51 74 07


La conférence sera suivie de la signature des livres et d’un buffet



Participation aux frais : 8 €
Étudiants, chômeurs : 4 €

lundi 4 février 2013

Affaire de la profanation de la chapelle de la base militaire de Toulon.


Bernard Antony, président de l’AGRIF, communique :

La plainte de l’AGRIF a été déposée le 15 janvier par son avocat, Maître Gestat de Garambé, ancien Bâtonnier du Barreau de Toulon.

Mais, selon nos sûres informations, le ministère de la Défense n’a guère souhaité qu’une enquête soit réellement menée dans cette affaire.

Certes, qu’elle se soit produite dans la chapelle catholique d’une enceinte militaire faisait désordre.  Aussi, dès le début y a-t-il eu volonté de la minimiser et de nier la motivation évidemment antichrétienne du saccage. Le très prudent porte-parole de la Préfecture Maritime, le jour le jour-même de la découverte des faits , ne déclarait-il pas :  « Il est trop tôt pour déterminer la nature de cet acte malveillant car les symboles religieux ne sont pas les seuls à avoir été visés. Des chaises ont d'ailleurs également été renversées ». Le bel argument !

L’AGRIF attend des autorités que cette affaire ne soit pas enterrée.


vendredi 1 février 2013

Ils sont « raides fous » !


Bernard Antony communique :

Ça y est, voici que dans le sabbat idéologique LGBT-OGM socialo-taubiravagé et phobiphobe, les convulsionnaires du Palais Bourbon remettent ça contre la race dont, selon eux, en supprimant le mot on supprimera la réalité.

J’écrivais l’an passé les lignes ci-après sur cette divagation hollandiste :

« François Hollande supprimant la « race », oui, c’est vraiment pire encore qu’un manieur du déconomètre, c’est tout simplement un con.

Après que sa proposition fiscale sur le barème des 75 % ait fait justement reprendre par François Bayrou une expression de Michel Audiard sur « le déconomètre fonctionnant à pleins tubes », François Hollande a sans doute encore voulu prouver qu’il était vraiment un très grand dans l’ordre de la connerie idéologique.

Il a donc prévu s’il était élu de supprimer le mot « race » de l’article premier de la constitution. Sans doute pense-t-il ainsi dans une sorte de confuse crédulité kabbaliste abracadabratesque (abracadabra signifie en araméen : « il a créé comme il a parlé ») que si l’on peut créer en prononçant un mot, on peut décréer en le supprimant !

Ainsi, plus de mot, plus de race ! Et le tour est joué.

L’argument socialiste en faveur de cette éradication tient au fait qu’au nom de la race on aurait fait bien des mauvaises actions. Mais n’en a-t-on pas fait d’aussi vilaines au nom de la classe, de la nation, de la religion, et même au nom de la liberté et au nom de l’égalité aussi ?

Bigre, que de mots alors à supprimer ! Mais si plus de race, alors plus de racisme, ni d’antiracisme, et comment alors parler de métissage (entre quoi ?) et de diversité ?

Comme si le mot de race ne recouvrait pas simplement un déterminant parmi d’autres de la réalité humaine et justement de l’heureuse diversité de la nature humaine ?

Alors va-t-il falloir dans la logique hollandiste expurger aussi le mot race de la Bible et du Talmud, des œuvres de Voltaire, et de Montesquieu, de Rousseau, de Taine et de Renan, de Marx et d’Engels, de Ferry, de Jaurès, de Clémenceau et de Blum, de Senghor et de Mandela.

Du travail en perspective débord pour les penseurs de gauche qui devront montrer l’exemple de la culture idéologique politiquement correcte !

Ensuite, dans la foulée, il faudra bien sûr expurger pour le moins cent mile penseurs et écrivains de tous pays et de toutes races ! Car tant que demeurera le mot dans quelque livre de quelque recoin de bibliothèque, le danger de réapparition de la réalité subsistera. Du travail donc, pour les manieurs de ciseau de l’intelligentsia de la gauche hollandiste.

À vrai dire, résidait là un des secrets de Hollande, celui de la création nécessaire de cent mille postes d’épurateurs de bibliothèques et d’un million de surveillants de la pensée correcte.

Même le président Mao, « ce phare de la pensée universelle » selon Mr Giscard d’Estaing, n’aurait pas imaginé cela !

Mais que faire aussi pour le prochain salon de l’agriculture où l’on exalte, entre autres, les diverses races bovines, porcines, ovines, chevalines.  Désormais, seul sera accepté le mot déjà assez usité de « filière » !

Et comme on ne saurait, selon l’idéologie correcte, conserver plus longtemps la discrimination entre un pseudo « règne humain » et les autres règnes animaux, ne faudra-t-il pas appliquer également à l’animal « homme » ce vocable de « filière », peu discriminant ?

On parlera ainsi de « filière latine » ou de « filières nordiques », voire même, aux limites de la nécessité idéologique, de filières blanches, jaunes ou noires. Pour l’instant, avec le camarade Hollande, la filière de la connerie se porte bien ! »

Oui, l’idéologie rend vraiment fou. Et si elle n’avait pas hélas conduit aux grandes exterminations génocidaires ou abortives dans la démence des idolâtries, de l’égalité ou de l’inégalité, de la nation, de l’État, de la race, de la classe, du sexe, on pourrait se contenter d’ironiser devant les phénomènes de la nouvelle hystérie révolutionnaire.

Mais l’embêtant en période révolutionnaire, si on laisse faire, c’est que ce sont les fous qui enferment les sains d’esprit et les criminels qui condamnent à mort les innocents.











                                                                                    

Affaire Boulin, retour sur un « crime d’État », Pasqua : souvenirs…



 L’excellent ami Jean-Marc Molitor, très imaginatif et talentueux patron de Minute, avait bien fait de me persuader de ne surtout pas omettre de regarder, ce dernier mardi 29 janvier 2013, le téléfilm « Crime d’État » et le débat qui s’en est suivi.

Cela m’a ramené au siècle dernier où ma vie de président du Centre Charlier (et donc du pèlerinage de Chrétienté) et de Chrétienté-Solidarité mais aussi de président de l’AGRIF et, bien évidemment, de député du Front National au Parlement Européen, a été fortement marquée par l’action de Charles Pasqua, largement évoqué dans « Crime d’État » sans que j’aie pour ma part aucune conviction sur son rôle dans l’affaire  Boulin. J’ai en revanche la claire mémoire, et les dossiers de presse, sur le rôle pernicieux que joua cet homme qui, par sa faconde et son image d’homme d’ordre (en effet !) fascinait toute une partie du brave peuple de droite.

Il déclarait certes, et cela plaisait, partager les valeurs du Front National (le FN de l’époque) mais simultanément il prenait comme conseiller et cheville ouvrière en « antiracisme » le dénommé Patrick Gaubert, petit « Big Brother » expert en police de la pensée correcte et violemment hostile à l’AGRIF.

Pasqua fascinait une partie du monde catholique traditionnel, on le louait avec une incroyable naïveté dans Permanences, par ailleurs bonne revue de l’excellente association Icthus.

Un cadre important du pèlerinage de Chrétienté en était un ardent partisan souhaitant (et oeuvrant efficacement à cette fin) pour que le pèlerinage ne soit plus dépendant du Centre Charlier, organe fondateur et organisateur pendant onze ans, puisque je présidais cette institution.

Je veillais pourtant scrupuleusement, par conviction fermement antitotalitaire, par refus de l’esprit de parti, à ce que pas plus le Front National que tout autre ne s’avisât de récupération électoraliste. Mais toute une ramification versaillaise de l’organisation du pèlerinage préférait en réalité une discrète coloration de droite pasqualienne, boutiniste ou villiériste.

C’était pourtant ce Pasqua, ministre de l’Intérieur, qui avait organisé ou laissait organiser l’incroyable embuscade de la Guadeloupe par les indépendantistes chauffés à blanc et chouffés au rhum, contre notre groupe de députés des droites européennes avec Le Pen et nos invités et journalistes.

Notre avion, interdit d’atterrissage à la Martinique où devait se dérouler notre session d’étude, se posa alors à l’aéroport du Lamentin à la Guadeloupe, où les autres passagers ayant débarqué et notre groupe restant à bord, je sortis de l’appareil car Le Pen se méfiait et m’avait demandé d’aller voir. Je pus alors constater le piège mis en place dans un contexte qui eut pu tourner au massacre. Je raconterai à nouveau les détails de cette affaire alors excellemment traitée dans Présent, d’autant plus que Jean Madiran était à bord de cet avion pour un incroyable aller-retour sans, qu’à part moi, nul autre député, journaliste et fonctionnaire ait pu poser pied à terre.

Mais quelle stupéfiante naïveté aussi sur Pasqua que celle de Philippe de Villiers allié à lui pour les élections européennes de 1999 et qui m’affirma, plus tard, la main sur le cœur, après leur querelle, n’avoir pas connu le passé ni perçu vraiment les aspects troubles du personnage, pourtant l’un des fondateurs principaux du SAC, le principale officine barbouzarde et tortionnaire de la répression anti-OAS.

J’écris donc en ce moment, non pas pour annoncer des mémoires, genre historico-littéraire auquel je ne me risquerai pas et toujours entaché de subjectivité et d’auto-censure.

En revanche, sur le mode d’Annie Kriegel dans son excellent « Ce que j’ai cru comprendre », je vais exprimer, pour que les leçons de certaines expériences ne soient pas perdues, ce que j’ai pour ma part pu comprendre des événements politiques que j’ai traversés, m’efforçant toujours, à mon modeste niveau, de défendre notre idéal dans les turbulences politiques, les manigances, les coups tordus et les passions humaines.

Si quelque embûche des hasards de la vie, toujours possible, ne l’interdit pas, je développerai ce que je viens d’évoquer  pour le numéro de Reconquête du mois de Mars.