mercredi 30 octobre 2013

Persécution des chrétiens sous domination islamique : les mensonges du Quai d’Orsay.

Dans un entretien publié dans Famille Chrétienne, Roland Dubertrand, le conseiller aux affaires religieuses du Ministère des Affaires Étrangères, répond que l’on ne saurait  parler de persécution à propos du sort des chrétiens d’Orient.

Il s’en tient à l’observation de « violations préoccupantes des droits de l’homme ». Selon lui en effet, « pour qu’il y ait persécution, il faut une politique délibérée et systématique d’un État ou d’un groupe constitué visant à agresser une communauté religieuse tout entière ».

Cette définition est acceptable. Mais alors, l’évidence grave s’impose de ce que le conseiller aux affaires religieuses Dubertrand n’a pas entendu parler des « groupes constitués » pour éradiquer le christianisme par toutes les formes d’assassinats et de massacres que sont les talibans d’Afghanistan et du Pakistan ou la secte Boko-Aram au Nigeria et tous ceux qui fonctionnent de par le monde selon leur « modèle » génocideur.

Il n’a donc peut-être pas entendu parler d’Al-Qaïda ?

Pour ce qui est des États, le conseiller Roland Dubertrand semble ne rien savoir du sort fait aux nombreux chrétiens immigrés en Arabie Saoudite si on leur saisit ne serait-ce qu’une Bible. Il ne sait donc rien des nombreux États islamiques où l’application de la « dhimmitude » selon la lettre ou l’esprit de la charia n’entraîne pas seulement « des violations préoccupantes des droits de l’homme » mais une constante violation et répression de la liberté religieuse.

Lorsque, selon la politique de la plupart de ces États, le musulman converti au christianisme est soit condamné à la peine de mort soit à de mortelles années de prison, cela ne relève-t-il pas d’une explicite persécution institutionnelle ?

Et dans les plus de quarante États d’Afrique ou d’Asie, du Nigeria du nord à la Malaisie, comment qualifier le sort fait aux chrétiens qui, au mieux, survivent dans un déni des droits fondamentaux de la personne humaine et très souvent dans une terreur de fait plus ou moins conjointement exercée par les États et par les « organisations » islamistes ?

La vérité, hélas, est qu’il existe dans tous les États de l’Organisation Islamique des formes variables de persécution, soit étatiques, soit du fait des « groupes » allant de toutes les formes de relégation et de vexation à la terreur. La prudence diplomatique ne requiert pas de nier la réalité.


Chrétienté-Solidarité-Persécutions constate avec tristesse l’indifférence et la lâcheté de fait de la politique étrangère française aussi bien pour les chrétiens en islam que pour les persécutés du communisme en Extrême-Orient.

lundi 28 octobre 2013

Hollande : le mieux pour la France, c’est qu’il parte au plus vite !

Cela, c’est ce que l’on exprime même de plus en plus au sein du parti socialiste où certains prophétisent, si Hollande s’entête à rester à l’Élysée, l’inéluctabilité non pas de leur chère « lutte finale » mais d’un chaos terminal mortel pour leur parti.

Que disparaisse le parti socialiste ne serait certes pas pour nous affliger mais c’est le peu qui reste de la France génocidée qui va encore s’amenuiser si cet halluciné persiste à jouer le rôle d’un chef d’État.

L’évidence, c’est que le désarroi gagne de plus en plus le Président de la République et qu’il ne le compense que par cette auto-exaltation que manifeste son inquiétant regard cocaïné et un débit verbal haché, comme robotisé.

À gauche, au sens le plus large, on voudrait toujours concilier la désagrégation de la société naturelle selon une constante idéologique, dont les deux pôles sont l’individualisme et le collectivisme, avec une certaine réussite économique. Las ! Ça ne marche pas. Ça ne marche pas parce qu’il est finalement plus facile d’imposer à une nation déjà bien anémiée une nouvelle étape dans la désagrégation du mariage que de rétablir l’équilibre financier de la Sécurité Sociale.

Pour cela en effet il faudrait notamment consentir à en finir avec la Couverture Médicale Universelle (CMU) qui est la plus grosse des pompes aspirantes immigrationnistes.

Mais tout le drame politique, c’est que si la gauche n’est somme toute efficace que dans l’accomplissement des lois de désagrégation désormais appelées « sociétales », les forces de droite, ou plutôt de « non-gauche » ne s’empresseront pas de les abroger.

Pourtant, tout se tient. Aucune reconstruction politique ne sera durable sans volonté de reconstruction sociale en profondeur. Ce sera bien sûr un critère essentiel de jugement pour nos choix électoraux.

Un dernier mot encore pour aujourd’hui. Observer comme, avec d’autres, nous le faisons depuis fort longtemps la perniciosité des pompes aspirantes immigrationnistes, c’est bien.

Cela n’est sans doute pas suffisant dans l’analyse. Aussi faut-il aujourd’hui parler des machineries d’expulsion. Qui paye, en effet, à hauteur de ce qu’ils ne gagnent pas en une vie, les « passages » des immigrés qui déferlent sur nos rivages, au risque des noyades que l’on sait ? On ne peut évidemment être insensible au sort de ces malheureux. Mais cela n’interdit pas, bien au contraire, de poser et de reposer autant qu’il le faudra les questions de qui les pousse à immigrer pour la plupart si loin de chez eux plutôt que vers des pays d’islam bien plus proches pour beaucoup : Arabie Saoudite et autres pays riches de la péninsule pour les immigrés de l’Afrique de l’est, Turquie pour les Syriens…

Nous en parlerons ce mercredi sur Radio-Courtoisie (notre émission de 18 h à 21 h).

J’animerai pour l’AGRIF le mois qui vient plusieurs réunions en province :
À Toulon, le vendredi 15 novembre.
À Toulouse, le samedi 23 novembre
À Lyon, le vendredi 29 novembre
À Rennes, le samedi 7 décembre

Thème général : « Les ravages du nihilisme laïciste et avancée de l’islam : contre cela les combats de l’AGRIF ». 

jeudi 24 octobre 2013

AFFAIRE LÉONARDA, L’HEUREUSE ISSUE : UNE ENTREPRISE D’IMPORT-EXPORT !



On ne peut que se réjouir du fait suivant : on apprend que disposant déjà d’une grande expérience familiale dans la transhumance migratoire à des fins de bonne exploitation des systèmes d’aide des pays visités, Léonarda bénéficierait tout de même encore en France du soutien actif de l’une de ses deux sœurs, fort bien implantée après quelques phases conflictuelles avec leur père et aussi avec une sœur aînée installée dans la Meuse.
Cette dernière, qui est à la tête d’une prospère communauté kosovarde de trois générations, experte dans l’obtention des aides en tous genres fournies par les généreuses lois françaises et européennes, ne veut pas l’accueillir compte tenu de sa forte tendance à vouloir, comme elle l’a dit, « faire la loi ».
En revanche, Léonarda avec son autre sœur bénéficie d’un grand élan de solidarité du lobby romo-kossovar déjà très heureusement agissant dans notre pays, quoique encore pas à la veille d’être comparable à celui du Qatar (« Fly Emirates », c’est le maillot de ces « fachos » du PSG !).
Avec les relais italiens et allemands établis au long des années de pérégrination-prospection, Léonarda chez qui la juvénile ambition n’attend pas le nombre des années, serait, selon nos sûres sources balkaniques, en passe de lancer une belle entreprise d’import-export fondée sur la solidarité humanitaire (un premier « tee-shirt » à son image devrait bientôt être mis en vente). Les rapports financiers, selon de très sérieuses études de marketing, en seraient très juteux. Ils seraient vendus à un prix à peine légèrement supérieur à celui du PSG (120 euros !) que s’arrachent les masses de supporteurs populaires, pas si désargentées que l’on pourrait croire.
La « Fidel », cette organisation lycéenne socialiste (Fidel... Castro ?), composée de force petits bobos et bien subventionnée, pourrait, sur les conseils discrets de Cambadelis et Moscovici, en commander des milliers. Mais certains disent qu’on pourrait craindre que le tee-shirt Léonarda n’élimine peu à peu ceux à l’effigie de Che Guevara sur la mémoire duquel s’acharne désormais tout un courant marxiste révisionniste exhumant les anecdotes révélatrices de son pitoyable racisme (voir ses aventures en Afrique), de sa cruauté, sans parler de son légendaire manque d’hygiène.
Mais déjà, nous dit-on, l’emblématique Léonarda fourmille de projets tels que la mise sur le marché de produits authentiquement brevetés « Rom du Kosovo ». Mieux que le rhum de la Jamaïque ! Ce serait par exemple des sachets de romarin-Rom que fournit en abondance la campagne kosovarde. Mais surtout, l’exploitation de la marque « Léonarda Vinci » ( !), fondée sur l’évidente ressemblance frappante de notre grande héroïne médiatique avec la Joconde, devrait faire un tabac.
Léonarda qui, pour son âge, est ma foi assez polyglotte et aimait dire en français : « C’est moi qui ferai la loi », aurait aussi appris quelques bribes de latin et s’entrainerait à répéter comme Jules César : « Veni, vidi, vinci ». Là se découvre le secret de la jeune rom du Kosovo. Elle voudrait être un jour une impératrice de Rome et s’écrier comme Frédéric Mistral : « Réveille-toi race latine ! » (en provençal : « Abourote raço latino ! »). N’est-ce pas là vraiment mieux qu’un beau roman ?

mercredi 23 octobre 2013

Pour la gauche, le « rom » tient désormais lieu de « bon sauvage ».

Affaire Léonarda : Bernard Antony, président de l’AGRIF, communique :

De même que, pour les besoins de son idéologie, Jean-Jacques Rousseau parait un mythique « bon sauvage » de toutes les vertus de « l’état de nature », c’est désormais le « rom », pareillement idéalisé, qui en tient lieu pour la gauche actuelle et au premier rang les soi-disant écologistes.

Ainsi, les cas poignants des petites filles enlevées en vue de toutes les pires exploitations de la cour des miracles rome ne suscitent-ils pas le millième de l’indignation politico-médiatique mise en branle sur le cas de la vitupérante agitatrice précoce bien formée, Léonarda.

Cette dernière, orgueilleuse, sûre d’elle et dominatrice, affiche en effet sans une once de vergogne une barbare certitude tribale de ce que la France et les Français doivent se soumettre aux exigences de leur emprise, de leur empire rom conquérant.

Pourquoi se gêner ? À l’école de la république et de la culture raciste du rap, Léonarda n’a-t-elle pas appris que la France était une putain que l’on pouvait asservir à son gré ?

C’est que les pseudo-écologistes, fanatiques nihilistes, voient dans une immigration sans règle et sans limites un vecteur essentiel du déracinement, de la désagrégation sociale absolue qu’ils appellent de tous les vœux de leur instinct de mort.

Bien sûr, la vaguelette « rom » est infiniment moins menaçante que la déferlante contemporaine du néo-islamisme et Léonarda moins dangereuse que Samia Ghali ou Houria Bouteldja. Mais pour les négateurs « écolos » des lois de l’écologie humaine, tout est bon à prendre pourvu que ça détruise la nation en tant que constitutive d’une réalité humaine historique et politique que, cathares de notre temps, ils haïssent profondément.

L’AGRIF, exerçant sa fonction de syndicat des Français et de défense des lois d’harmonie de l’humanité, dénonce le racisme anti-français et anti-humain de ces faux écologistes qui ne sont que de vrais nihilistes. 

mardi 22 octobre 2013

« Mariage homo » : l’affaire, hélas, est pliée, du moins pour la période actuelle.

Jean-François Copé vient de déclarer qu’il n’était pas, bien sûr, hostile au « mariage » homosexuel. On l’avait entendu dire le contraire avant le vote de la loi. La force des politiciens réside dans une grande capacité d’ effacement mémoriel…
L’affaire du « mariage homo » est donc pliée. Du moins pour l’heure. Il faudra, pour revenir sur les lois de la culture de mort, de grands bouleversements politiques, sociaux, moraux.

Oui, bien sûr, la révolte contre la loi Taubira a été souvent forte, belle, courageuse et surtout mobilisant bien des jeunes. De cela surgiront peut-être des réanimateurs (il faudrait plutôt utiliser le néologisme de « résurrecteurs » de la nation française).
En attendant, force est de constater que madame Taubira, remarquable de combativité fanatique non sans talent, n’a pas vu se dresser en face d’elle une personnalité disposant d’assez de charisme, de ténacité, de volonté et d’intelligence analytique pour transformer l’opposition des foules de braves gens de la M.P.T. en une véritable force d’opposition morale avec sa nécessaire dimension politique.

Je sais qu’en redisant cela j’en chagrine certains et j’en suis désolé. Mais si je le fais c’est aussi que j’ai la conviction que La Manif pour Tous a été négociée, bordée, contrôlée pour ne pas véritablement alarmer le gouvernement.

Et je crois encore qu’entre l’option d’opposition à motivation principalement religieuse de certains et celle du « laïcardisme » dur et vigilant (du moins à l’égard de toute identification catholique, pas de l’islamique !) de ses responsables il y aurait eu le juste choix de manifestations véritablement laïques au vrai sens du mot (non « religieux »), sans ostraciser durement toute référence chrétienne. Ceci dans un esprit de bonne pluralité dans une unité offensive et déterminée à vaincre par une obligatoire stratégie politique, une loi non seulement politique mais d’idéologie radicalement subversive.

Je crois, hélas, que certains confondent l’esprit de juste mesure avec la tiédeur. Mais le débat n’est pas clos et des leçons restent à tirer.

Encore un massacre de chrétiens en Egypte …


Face à la continuité des brimades de la dhimmitude et des massacres antichrétiens partout en « islam », l’indifférence des organisations et autorités musulmanes, nationales et internationales, est totale.
On attend vraiment sur cela, de la part de François, une démarche diplomatique originale, certes prudente, mais ferme.

Ne trouvera-t-il pas le moyen de parler pour le respect des chrétiens à cet islam qu’il aime ? L’Église catholique doit-elle continuer à être une Église du silence devant l’éradication programmée des chrétiens d’orient ?

François, certes, ne peut parler et agir comme saint Bernard, sainte Catherine de Sienne ou saint Pie V, mais ne peut-il, comme saint François d’Assise, aller parler aux chefs musulmans ? Par exemple à Lahore, au Pakistan, où est le siège de l’Organisation de la Coopération Islamique.

Ne pourrait-il pas demander de pouvoir visiter Asia Bibi ?

lundi 21 octobre 2013

La société « radarisée » d’un insupportable « Big brother » sur les routes !

 Jadis, on faisait attention à la conduite. Désormais, il faut sans cesse se crisper sur les limitations de vitesse les moins nécessaires, les plus excessives, les plus contraignantes, il faut être tendu pour échapper à l’embuscade des radars de plus en plus fréquents. Et on nous annonce que ce sera pire à partir d’aujourd’hui. 

 Je suis ainsi rentré d’un périple de moins de 2000 km entre mon domicile près de Toulouse et la Bretagne et retour par le Limousin, plus fatigué par la vigilance sur mon compteur que par l’application à bien conduire. 

Les alternances de limitation sont souvent absurdes. Ainsi entre Nantes et Limoges via Poitiers, sur de magnifiques voies rapides fort peu encombrées faut-il mobiliser son attention pour rouler si lentement que c’en est épuisant. Et dangereux ! 

 Souvent un radar est placé par quelque sadique préposé à la confiscation de nos « points » et à la perception de notre argent, juste à l’endroit où l’on a à peine eu le temps de décélérer de 90 à 70 et à 50. Sur de vastes portions de voies rapides, totalement dégagées, le moteur ronronne, dûment bridé par le régulateur, alors la somnolence risque de vous gagner. D’autant plus que les bulletins d’information ne sont pas stimulants : « Toujours les mêmes mots, toujours les mêmes refrains… » 

 En fait, l’État totalitaire met du « sécuritaire » partout où il le peut, faute de pouvoir et faute de vouloir assurer par ailleurs la véritable sécurité des biens et des personnes telle que celle de la liberté de se promener sans risque dans une multitude de quartiers désormais de « haute insécurité ». 

 N’importe quoi, pourvu que ce soit « antiraciste » ! 

De même, Big brother vous écoute, vous lit, vous scrute. Il tolère, il incite même à toutes les libertés de perversion, de décréation, de blasphème, mais attention, si vous émettez des idées de préférence, de hiérarchie, de naturelle discrimination, alors il vous en cuira de n’être pas politiquement, idéologiquement, culturellement, sexuellement correct. 

 L’alignement sur le « correct » est d’ailleurs de plus en plus un exercice difficile si on veut le rationaliser. C’est plutôt une affaire d’instinct, de suivi de la mode. Mais c’est, somme toute, comme dans le « 1984 » de Georges Orwell - il suffit de savoir, et de s’y plier - que le vrai, c’est le faux, que le beau, c’est le laid. 

 Avec cela pour fil conducteur, on peut s’en tirer, faire Sciences-Po et même intégrer l’ENA. On peut ainsi dans l’hebdo cher à Philippe Val et Caroline fourest s’adonner indéfiniment à la recherche laborieuse de quelques variantes d’obscénités blasphématoires avec le même fond et le même bas-fond de représentation scatologique et sodomite qui font leurs délices. 

L’important est que ce soit vraiment le plus ordurier possible, le plus offensant possible pour le Christ et les chrétiens. Mais par ailleurs, gare aux dérapages ! La traditionnelle utilisation de la ménagerie dans la description de la faune politique est désormais chose risquée. 

 Ainsi, par exemple, dois-je veiller à ne surtout pas dire le nom des anciens et anciennes ministres des précédents gouvernements dont ce que j’appelle les « correspondances animales » sont, selon les cas, le ouistiti, la vache ou la baleine. 

 Désormais un Jean de la Fontaine serait étroitement surveillé et sans doute très vite « embastillé ». Car si l’ancienne Bastille, d’ailleurs vide, a été détruite en 1789, il y en a désormais beaucoup d’ouvertes pour les impertinents non-alignés contestataires du respectabilisme antiraciste. 

 Gare donc dans la métaphore animalière : on peut toujours traiter laudativement, sans risque, un personnage de jeune loup, de lion ou de pur-sang mais attention à l’utilisation du vampire, voire de l’otarie… 

 Néanmoins, si vous voulez qualifier Martine Aubry de « jolie petite biche » ou Valérie Trierweiler de « délicieuse et gracile libellule », vous ne risquez rien. 

 PS : Sur ces questions délicates du sémantiquement correct, j’anime volontiers des séminaires de formation. Mes tarifs sont légèrement inférieurs à ceux d’un certain DSK.

jeudi 17 octobre 2013

« Rom : l’arbre qui cache la forêt »

Les abonnés de Reconquête s’en souviennent, c’était il y a quelques années, en septembre 2010, la couverture de Reconquête.

Depuis, bien sûr, l’immigration « rom » a continué en raison de l’inefficacité des pays balkaniques pour l’empêcher. Mais cela dit, l’immigration afro-asiatique, principalement musulmane (bien des roms sont aussi des mahométans), se poursuit à un rythme cent fois plus élevé.

Et je le répète, rien n’est fait dans la diplomatie européenne (et vaticane) pour exiger des très riches pays d’islam, pourtant proches de leurs lieux de départ, d’accueillir ces populations malheureuses. La vérité, c’est que l’Arabie Saoudite, le Qatar, le Koweit, la Turquie voient avec satisfaction des myriades islamiques s’installer toujours plus dans les pays des « roumis ».

Eh oui, « rom » et « roumi », c’est la même étymologie. Mais si le « rom » est ainsi appelé, car venant principalement de Roumanie (pas uniquement), il n’est guère de culture « romaine ». Mais pour ce qui est de nous, les « roumis », comme nous appellent les musulmans, chaque année qui passe voit un peu plus l’éradication de nos  racines de civilisation gallo-romaine.


Je reviendrai lundi prochain sur le sujet. Bonne fin de semaine, chers lecteurs !

mercredi 16 octobre 2013

Anniversaire de l’assassinat de la reine de France.


Les lecteurs de ce blog, comme ceux de Reconquête, savent que, quelquefois, devant certaines tristesses ou palinodies du temps présent, nous préférons ironiser que nous lamenter. Selon le vieil adage : « Mieux vaut quelquefois en rire qu’en pleurer ! »

C’est le cas dans notre commentaire de ce matin. Mais je réalise que cette journée du 15 octobre est celle de l’anniversaire de l‘assassinat, perpétré en 1793, par hélas le tribunal révolutionnaire de l’État français, de l’héroïque reine Marie-Antoinette.

Ce crime vint après un long, un atroce calvaire certes de mauvais traitements mais, bien plus, de tortures consistant dans les plus immondes accusations, les pires calomnies qu’une mère puisse subir, proférées par un tribunal de criminels non distinct du gouvernement jacobin de même acabit, celui d’un régime perfectionnant le déni d’humanité, et donc le crime d’humanité, comme fondement de son totalitarisme, annonciateur et modèle de ceux des Jeunes-Turcs, des communistes et des nazis.

Marie-Antoinette fut non seulement héroïque dans l’épreuve mais témoigna par le pardon à ses bourreaux, et son amour pour la France, d’une sainteté telle que l’on peut se demander s’il n’est pas aussi légitime de la prier que de prier pour elle.


Et nous pensons aussi que, tant qu’un gouvernement français n’aura pas fait repentance pour les crimes contre l’humanité de son régime fondateur, il demeurera comme une malédiction originelle pesant sur notre République.

Le « lard contemporain »…


J’écrivais naguère sur ce que l’on appelle « art contemporain » que, devant la bizarrerie de ses « vistemboires » et autres « ergulatrons » (il faut bien donner des noms à ces « choses »), on ne peut demander, selon l’expression populaire, si c’est « du lard ou du cochon ».

À vrai dire, on a pu y constater une nette évolution non pas vers le « cochon » compris au sens de « cochonnaille », ce qui déplairait à l’islam, mais bien plutôt au sens très clair de « cochonnerie » ; ce qui est beaucoup plus conforme au politiquement correct de la bobocratie dominante et subventionnée.

Mais voilà que dans les délires de cet « art financier », selon l’exacte expression de notre chère Aude de Kerros,  un certain Wim Delvoye, désigné comme étant un « artiste belge », vient de créer une œuvre grandiose, géniale, à couper le souffle, ramenant tous les prédécesseurs du vieil art de jadis, de Praxitèle à Rodin, au rang de demeurés de l’imagination.

L’artiste belge Delvoye a en effet produit en 2010, je le découvre aujourd’hui dans le Figaro, un Himalaya artistique que constitue un … troupeau de cochons tatoués.

Précisons ici tout de suite que l’article du journal qui accompagne la photo porcine, est tout de même sur le fond plutôt critique sur le phénomène de « l’art » en question dont le nihilisme radical qui le sous-tend ouvre un gouffre béant de snobisme dans lequel les dindons du capitalisme financier les plus dindonneux engouffrent en effet des sommes astronomiques, en définitive comme quelque chose de plus subtil que de faire brûler dans leur cheminée des billets de cinq cents euros, yens et dollars pour se chauffer à la vanité de leur fortune que ces indélébiles tarés n’imaginent pas de mieux dépenser.

La manière de tatouage des pauvres cochons de l’artiste belge consiste simplement en la reproduction sublime de l’inscription de son nom : Wim Delvoye.

J’en ai montré ce matin la photo à mon ami Juan, le grand charcutier des halles de Toulouse où l’on peut trouver la plus belle gamme des jambons espagnols, depuis les simples « serrano » jusqu’aux plus fantastiques « pata negra » estampillés « iberico » et notamment, bien sûr, celui de « Jabugo » que je conseille généralement de déguster avec un vin sec de Jerez.

Juan, l’œil facétieux, m’a simplement dit : « Ces cochons tatoués ont des gueules tristes de bêtes non nourries avec des glands et des noix et dont on ne saurait tirer d’honnêtes jambons. Mais les « glands », ce sont les snobinards qui font semblant d’avoir du goût pour les cochonneries de Delvoye ». Salvador Dali les avait bien nommés : « les cocus du vieil art « moderne » ! 





lundi 14 octobre 2013

Intervention de Bernard Antony au Grand déjeuner de l'AGRIF


Intervention de Bernard Antony - Grand déjeuner... par fontey

Victoire du FN à Brignoles.

Tout simplement, quelles que soient mes réserves sur certaines idées et positions regrettables de la direction du FN ( c’est tout de même mieux aujourd’hui sur l’islamisation…), je me réjouis de ce beau succès face à la clique du « front républicain ».

Voyage du concubinat présidentiel en Afrique du Sud.

On nous donne ce jour la très importante information de la rencontre de la première concubine de France, Valérie « Trierweiler » (non, ce n’est pas une race de chien !) avec une couple de lesbiennes sud-africaines. C’est en effet une nouvelle, car il faudrait vraiment être incompétent en politique pour ne pas mesurer l’importance d’un tel évènement en matière de relations internationales et plus spécialement africaines, mais aussi quant à l’évolution planétaire des mœurs.
Notre informateur dans la suite présidentielle nous a confié qu’il s’y chuchotait combien Valérie Trierweiler (non, ce n’est pas une race de poneys !) était fantasmagoriquement très attirée par ce modèle relationnel. Et que François, pour sa part, était très friand, les yeux plus …… brillants que d’ordinaire, à la perspective d’entendre sa douce lui faire part de son émoi devant les confidences saphiques de ces noires beautés énamourées du Transvaal.
On dit, mais sans confirmation des services de la présidence, que la couplade lesbienne pourrait être invitée en France par le duo présidentiel pour des échanges plus poussés dans le domaine de l’évolution de l’anthropologie (non, je ne dis pas anthropophagie même si j’ai évoqué la gourmandise de notre chef de l’État !)

« Masochisme catholique »…

Oui, à la demande, comme je l’ai déjà fait pour un petit groupe, je traiterai du « masochisme catholique », phénomène idéologico-psychiatrique tel que manifesté sur R.C.F. avec l’affaire Malet ou à la direction de La Manif Pour Tous dans le phénomène d’aporie d’une exigence de laïcité vigilante à l’égard du moindre signe d’identification catholique et d’ouverture généreuse à l’islam le plus fermé.

L’Agrif communique :

Un bien surprenant éditorialiste sur R.C.F. (Radio chrétienne francophone).

Un bon hasard a fait que ce samedi 12 octobre vers 8h, alors que, en conduisant, je recherchais une radio supportable, je sois tombé sur R.C.F., découvrant avec un certain effarement que c‘était le moment de l’éditorial de politique étrangère confié à Emile Malet !
Oui, c’était bien lui, cet Emile Malet, .....

jeudi 10 octobre 2013

Chrétienté-Solidarité communique:

Aperçu

Dans l’esprit de l’Amitié Française et d’un véritable œcuménisme catholique de terrain face à la haine contre l’identité chrétienne de la France, j’approuve l’initiative du mouvement Civitas d’organiser, après les provocations du fanatique nihiliste Pierre Bergé, une « Grande marche contre l’antichristianisme et la politique antifamiliale » le dimanche 20 octobre 2013.

J’invite de tout cœur tous mes amis de la région parisienne à y participer et souhaite plein succès à cette manifestation :
Rendez-vous devant la brasserie de Pierre Bergé « Prunier », 16 avenue Victor Hugo Paris 16ème à 14h30.

Bernard Antony, président. 

Chrétienté-Solidarité 70, bd saint Germain 75005 Paris
01 40 51 74 07

chretientesolidarite.fr@gmail.com

L’immonde hommage de Fabius à Giap.

AperçuChrétienté-Solidarité communique:

Laurent Fabius a rendu au général vietminh Giap, vainqueur des Français à Dien Bien Phu, un hommage déshonorant en des termes de vile bassesse et de négationnisme historique que ne justifie aucune nécessité de politique étrangère réaliste.

Le chroniqueur José Castano, défenseur de la vérité sur la guerre d’Indochine et l’armée française, a justement réagi à cet éloge sous le titre « Toute honte bue » en le qualifiant « d’acte de trahison intolérable ».

Rien, vraiment rien n’imposait en effet au ministre des Affaires Étrangères de monsieur Hollande de « saluer avec émotion le décès du général Giap… Un grand patriote vietnamien, aimé et respecté par tout son peuple… ».
Ceci est un mensonge.
Giap fut en effet avec Hô Chi Minh le persécuteur exterminateur de centaines de milliers de vietnamiens, notamment catholiques mais de toutes autres confessions aussi, qui refusaient la dictature rouge de leur pays.
Comment oublier aussi qu’il fut le premier responsable de la mort dans les camps de détention des prisonniers français et vietnamiens de plus de 30000 soldats de notre armée. Beaucoup de ces camps, tel le camp 113 du traître Boudarel, étaient simplement des camps d’extermination où les détenus mouraient dans les mêmes proportions que dans ceux d’Auschwitz. Avec de surcroît la torture supplémentaire de devoir sans cesse louanger leurs bourreaux, comme en témoigna le colonel Weinberger, de confession juive, successivement et incroyablement rescapé des deux enfers : celui, nazi, d’Auschwitz et celui, communiste, d’un camp « Giap ».

Qu’aujourd’hui la France entretienne des relations normales d’État à État avec le Vietnam est compréhensible et le serait plus encore si elle se souciait du respect des droits fondamentaux de la personne humaine dans ce pays qu’enserre toujours un terrible carcan policier. Mais la question du respect des droits de l’homme dans le monde est vraiment à géométrie très variable dans la pratique de nos gouvernants.


Mais, en outre, l’évidence s’impose de ce que le pitoyable ministre Fabius a en fait profité de la mort de Giap pour injurier cyniquement la mémoire des combattants de toutes origines de l’armée française.

Bernard Antony

Chrétienté Solidarité 70, boulevard saint Germain 75005 Paris
01 40 51 74 07 chretientesolidarite.fr@gmail.com

mardi 8 octobre 2013

AGRIF : Bilan de la journée du 5 octobre.

Les orateurs, les journalistes de la presse libre, les participants ont été unanimes à se féliciter de la réussite de notre journée dans le climat de cette Amitié Française et Chrétienne qui m’est chère depuis si longtemps.
L’analyse que j’en fais est nécessairement plus critique. Il revient en effet au premier responsable d’établir un bilan sans complaisance.

Sur le plan financier, mais nous savions bien qu’il en serait ainsi, cette journée a certes été déficitaire. Mais nous sommes persuadés que cela sera compensé par un grand effort d’adhésion de soutien, nos amis ayant pu constater le cœur que nous mettons à l’ouvrage dans la défense de notre identité française, chrétienne et de l’humain face à la culture de mort et à ses lois nihilistes.

Sur le fond, si tous les intervenants ont tenu à exprimer leur entier soutien à l’action de l’Agrif, certains, sympathiquement emportés par leur élan militant, ont un peu oublié de se situer par rapport à ses exigences politiques.

Les centaines d’auditeurs ont donc pu se faire une idée de leur adhésion plus ou moins entière à ce qui relève véritablement pour nous d’un choix d’inversion génocidaire.
Et nous ne sommes ni des passéistes réactionnaires, ni des intégristes grincheux, ni des nostalgiques de formes sociales anciennes !
Mais le refus de la décadence politique morale et sociale, la volonté de remplacer la loi Veil par une loi d’accueil de la vie, et d’abroger tout bonnement la loi Taubira, la décision de « sortir de cette Europe-là », d’en finir enfin avec l’idéologie dite « antiraciste » de haine du réel, de ne pas accepter l’islamisation, ce sont les impératifs d’une résurrection de notre France et de notre civilisation.

Cette conviction est largement partagée par nombre de cadres et militants du Front National ; mais, hélas, pas entièrement par ses principaux dirigeants. Elle est approuvée aussi, au moins partiellement, par des partisans de l’UMP ou de ses filiales démocrates chrétiens et autres. Mais pour ce qui est des dirigeants, sur l’essentiel, il n’en est rien.
Approbation forte aussi, sur l’essentiel, dans le petit (électoralement) Parti de la France (P.D.F.).

L’Agrif qui, encore une fois, n’est pas un parti et n’a pas de préférence partisane, le moment venu, observera donc sur ces critères, les positions des candidats aux prochaines élections : même aux élections municipales, puisque, surtout dans les grandes villes, les mairies ont à mettre en œuvre des politiques touchant à la vie, à la famille, à l’éducation, à l’immigration, à la culture, donc à l’identité.

Et la solidarité arabo-musulmane ?

Suite à l’excellent article ici de Cécile Montmirail après la tragédie du naufrage de Lampedusa, on me pose la question de notre position sur la création d’un « couloir humanitaire » préconisé par certains et du devoir de l’Europe de mettre tout en œuvre pour éviter à l’avenir pareil drame.
Je suis en effet pour une semblable solution adaptée aux réalités humaines et géographiques.
Une multitude de réfugiés viennent d’Erythrée, de la côte de Somalie, en un mot, globalement de la corne de l’Afrique, d’autres viennent de Syrie. La plupart sont musulmans. Pour ceux qui viennent de la corne de l’Afrique il est à remarquer que la riche Arabie saoudite est dix fois plus proche de leurs lieux d’émigration que l’Europe. L’évidence d’un simple transfert par traversée de la Mer Rouge s’impose donc. D’autant qu’à l’est de l’Arabie, le richissime Qatar et autres émirats prospères pourraient tout de même en accueillir également un grand nombre.
La diplomatie du pape François qui aime l’islam pourrait sans nul doute s ‘employer efficacement à cette fin.
Je préconise donc un premier « couloir » humanitaire consistant, sous la houlette du croissant rouge islamique, à regrouper les réfugiés à Djibouti pour les transférer à quelques kilomètres seulement, de l’autre côté du détroit de Bab al Mandab, au Yémen d’où ils pourraient être acheminés par tous moyens, en longeant la Mer Rouge côté Arabie vers les opulentes villes de Djedda, de la Mecque et de Médine où doit indubitablement s’exercer prioritairement l’immense générosité de l’Oumma islamique. Par exemple, le seul argent arabe dépensé dans l’achat du P.S.G. et l’entretien de ses richissimes joueurs de ballon pourrait faire vivre des milliers de malheureux…

Pour ce qui est des réfugiés syriens, je parle des musulmans, l’évidence s’impose d’une plus grande ouverture des frontières de la Turquie que ne déséquilibrerait pas une immigration quantitativement bien moindre que celle que l’Europe a accueillie au fil des années par dizaines de millions, et culturellement beaucoup moins problématique puisque de même appartenance islamique.

Une évidence criante s’impose : le réfugié musulman a droit à la solidarité musulmane ! C’est une honte pour « l’Oumma » que de ne pas accueillir les siens. À moins que….
Mais aujourd’hui je n’irai pas plus loin dans l’exposé de ma réflexion.


Les photos du grand déjeuner de l'AGRIF le 5 octobre 2013 à la Mutualité à Paris












vendredi 4 octobre 2013

Justice pour les Européens !

La nouvelle catastrophe de l’île de  Lampedusa n’est pas due à une quelconque irresponsabilité de l’Europe comme le clament les 68 associations auto-proclamées humanitaires à la tête desquelles se trouve France Terre d’Asile. N’en déplaise à son directeur Pierre Henri, l’Europe n’est pour rien si des milliers de personnes bravent chaque jour la mort pour rejoindre ses côtes.

Si les Tunisiens, les Syriens, les Libyens, les Soudanais quittent en masse leurs pays, c’est parce que des groupes islamiques y sèment la terreur et désorganisent leurs économies.

Si l’Europe est responsable de quelque chose, c’est d’avoir encouragé les révolutions arabes qui ont des conséquences dramatiques pour leurs populations.
Mais elle n’est pas responsable de l’avenir de ces populations depuis la fin de la colonisation.
Depuis la fin de la colonisation, chaque peuple est responsable de son avenir.

L’Europe doit donc s’occuper de son avenir et en particulier de ceux d’entre les Européens qui sont les plus pauvres et les plus fragiles et dont le nombre ne cesse d’augmenter parce que les migrants qui arrivent en masse, plus pauvres encore qu’eux, prennent leur place, ce qui est une injustice.

Certes, nous ne pouvons être insensible aux malheurs de populations que la misère jettent sur les routes et sur les mers bravant une mort souvent certaine, ou des sévices atroces, surtout pour les femmes.

Mais la lutte contre une injustice ne peut se faire en créant une autre injustice. Créer un couloir humanitaire pour accueillir tous les migrants africains, asiatiques, arabes qui rêvent de rejoindre l’Europe signifierait la fin de l’Europe qui est déjà très malade. Cela n’est pas une solution acceptable. C’est une solution qui sous des apparences généreuses est intrinsèquement mauvaise car elle est fondée sur un faux diagnostic.
Cécile Montmirail

jeudi 3 octobre 2013

Veillée de prière à Montmartre pour la Vie et la Famille.


Chrétienté-Solidarité encourage vivement ses militants et amis à participer à la veillée de prière pour la Vie et la Famille organisée par Renaissance Catholique à Montmartre le 19 octobre 2013 de 19 h à 21 h 30.

Informations complémentaires :


Mairie et Académie de Paris : l’immonde « Opération collégiens » de bourrage de crâne de la culture de mort du totalitarisme socialiste.

Nous y avons déjà fait allusion hier soir sur radio-Courtoisie : un courrier a été envoyé à tous les collèges de la ville de Paris afin qu’ils reçoivent des « spécialistes aguerris (sic) de la sensibilisation à la lutte contre les discriminations ». Il les informe de ce que pour lutter contre « les préjugés et les stéréotypes » une de ces onze associations (subventionnées) prendra contact avec leur direction.

Voilà la liste de ces associations :
- La Compagnie de théâtre « Air du Verseau »,
- Contact,
- Dire, Faire Contre le Racisme (DFCR),
- La Fondation Agir Contre l’Exclusion (FACE),
- La Ligue des Droits de l’Homme (LDH),
- La Ligue Internationale Contre le Racisme et l’Antisémitisme (LICRA),
- Le MAG Jeunes LGBT,
- 1000 Visages,
- Le Mouvement contre le Racisme et pour l’Amitié des Peuples (MRAP),
- SOS Homophobie,
- SOS Racisme.

Le courrier est signé de Claudine Bouygues (Adjointe au Maire de Paris, chargée des droits de l’homme, de l’intégration, de la lutte contre les discriminations et des étrangers extra-communautaires), Colombe Brossel (adjointe au maire de Paris, chargée de la vie scolaire et de la réussite éducative), Claude Michellet (directeur de l’Académie de Paris).

C’est évidemment là une illustration de plus de la manière dont est aujourd’hui appliqué le principe de laïcité, à savoir le conditionnement des esprits par l’idéologie nihiliste du soi-disant « antiracisme », c’est à dire la pire forme du racisme : le racisme anti-humain ;

Pour constater, analyser, dénoncer cela, l ‘AGRIF a été, est et sera toujours au premier rang.

Soutenez-là !

mercredi 2 octobre 2013

Grand Déjeuner d'Amitié Française du 5 octobre : le programme

L’AGRIF communique :

Le déroulement du grand Déjeuner d’Amitié Française de l’AGRIF du 5 octobre prochain à la Mutualité est désormais fixé dans ses grandes lignes.

1)     Réception autour des stands de l’AGRIF et des associations participantes dès 10 h 30.

2)     Début du déjeuner à 12 h 30.

          Allocutions  de :
                   - Jeanne SMITS, Face au nihilisme de la culture de mort, 
                                                                             nos combats pour la vie.

                                                          - Maître Jérôme TRIOMPHE,  Face à la persécution du totalitarisme socialiste 
                                                                      et à la répression policière, le combat de l’AGRIF pour les libertés.

-   Bernard ANTONYL’AGRIF contre tous les racismes, pour la vie, la famille, la          patrie, l’humain. Non à la théocratie totalitaire islamique.


3)     Réactions de :
Jean-Pierre MAUGENDRE, Renaissance catholique.
Guillaume de THIEULLOY, les Quatre Vérités.
Daniel HAMICHE, Observatoire de la christianophobie.
Alain ESCADA, Civitas.
Saïd OUJIBOU, communauté chrétienne d’Afrique du nord.
Frédéric PICHON, avocat au Barreau de Paris.
Christophe BILEK, Notre-Dame de Kabylie.
Hilaire de CREMIERS, Politique-Magazine.

4)     Interventions de responsables politiques :
Carl LANG, Parti de la France.
Béatrice BOURGES, Printemps Français.
Xavier LEMOINE, Parti démocrate-Chrétien.
Bruno GOLLNISCH, Front National.

5) Attribution du Prix AGRIF 2013 à une personnalité héroïque et particulièrement persécutée par la répression idéologique.

6) Inscription : 42 € par personne, à l'ordre de l'AGRIF, par chèque ou par paypal.
Dépêchez-vous de vous inscrire si vous souhaitez être avec un président de table particulier : plusieurs tables sont déjà complètes.

Cliquer sur ce lien pour s'inscrire :
 AGRIF
70 boulevard Saint-Germain
75005 PARIS
TEL / 01 40 46 96 31



mardi 1 octobre 2013

Pourquoi le principe du repos du dimanche doit être maintenu.

L’Institut du Pays Libre communique : 

Il est tristement révélateur de notre effondrement culturel que dans le débat sur la fermeture des magasins le dimanche aucune grande voix de responsable politique, ni même religieux, ne se soit élevée et n’ait été médiatisée pour exprimer le sens profond et le bienfait du respect du repos hebdomadaire et en défendre le principe.
Le dimanche (étymologiquement « le jour du Seigneur ») est, rappelons-le, la célébration du 7èmejour de la création. C’est le « shabbat » des juifs observé le samedi (étymologiquement le « jour du sabbat »).
Il n’y a pas un jour semblable dans l’islam sinon que le vendredi est celui de la grande prière l’après-midi à la mosquée.
Dans le judaïsme, religion fondée notamment sur une stricte « ortho-praxis » (« droite observance »), le principe du respect du shabbat est un absolu ne tolérant des transgressions que pour des raisons de survie.
L’esprit de l’Évangile a permis plus de souplesse en vue du bien commun dans l’observation du dimanche.
En Israël, pour les juifs laïques comme pour les religieux, la loi de la nation est celle de l’imprescriptible arrêt de toutes les activités commerciales ou industrielles, sauf celles engageant la sécurité.
Dans ce pays cependant il règne encore une heureuse complémentarité de services. On peut le samedi acheter aux musulmans ou aux chrétiens (là où il y en a encore) et les chrétiens, qui là-bas observent scrupuleusement le dimanche, peuvent ce jour-là acheter aux juifs ou aux musulmans.
Quoiqu’il en soit, le respect du repos le 7ème jour selon la loi religieuse obéit simultanément à une immémoriale et bienfaisante pratique générale de respiration spirituelle et sociale qui n’interdit évidemment pas celle des permanences et des tours de service dans les activités indispensables.
Mais le principe de l’arrêt du travail le dimanche (et pour la minorité juive le samedi) doit être maintenu et appliqué et ne pas être transgressé pour des raisons mercantiles. Cela est d’ailleurs observé aussi bien au Royaume-Uni qu’en Allemagne et autres pays d’Europe non « sous-développés ».
La position des hommes politiques sur cela sera aussi, après d’autres, un critère d’appréciation électorale.
Bernard Antony.