Je ne me réjouis pas de l’élection de Nicolas Sarkozy mais de l’échec de Ségolène Royal.
Je n’accuse pas pour ma part Nicolas Sarkozy de mensonge ou d’escroquerie. Hélas, en effet, il a redit son attachement à la loi Veil et aux autres aspects de la législation de culture de mort.
Il n’a pas remis en cause le monopole de l’éducation nationale et n’a pas affirmé le droit naturel fondamental des parents de donner à leurs enfants l’école de leur choix.
Il n’est en rien revenu sur sa politique vis-à-vis de l’islamisation de la France.
Il a martelé sa volonté de poursuivre la politique de fusion de la France au sein de l’Union Européenne.
Il s’est présenté pour ce qu’il est : un républicain partisan de l’ordre, ce qui n’est pas mal en soi, mais un républicain ne remettant pas en cause les mauvais principes de la république jacobine, notamment sur la famille et l’école.
Certes, il a tenu sur le travail des propos positifs. Il n’a cependant pas dénoncé la loi, non seulement désuète, mais mauvaise, sur la représentativité syndicale.
Il serait pervers de souhaiter qu’il échoue dans l’application de ce qu’il a manifesté de positif sur ce dernier point et sur ceux concernant la sécurité des Français.
Cela dit, il faut maintenant espérer pour notre pays la création d’un grand mouvement rénovateur de droite nationale et sociale, fidèle aux valeurs fondamentales de la morale du Décalogue et novateur dans leur défense, imaginatif dans le programme politique, rénovateur dans l’ordre des relations humaines et de l’organisation militante.
Car si le mouvement national n’est pas capable des analyses critiques et des remises en cause nécessaires, s’il continue dans son autosatisfaction, ses incantations et ses récriminations, il ira sans tarder dans un mur de lamentations moins chargé d’histoire que celui de Jérusalem !
Pour certains, il est vrai, l’important n’est-il pas de toucher encore un peu de la manne financière étatique distribuée aux partis pour moitié en fonction du nombre des élus et pour moitié au prorata du nombre de voix obtenues aux élections législatives ? Ce prorata, c’est quand même de la soupe pour la nomenklatura du parti et pour que de surprenants nouveaux Aragons maurrassiens ou néo-marxistes chantent toujours la gloire de leur Staline qui a toujours raison !
Sic transit gloria mundi.
Je n’accuse pas pour ma part Nicolas Sarkozy de mensonge ou d’escroquerie. Hélas, en effet, il a redit son attachement à la loi Veil et aux autres aspects de la législation de culture de mort.
Il n’a pas remis en cause le monopole de l’éducation nationale et n’a pas affirmé le droit naturel fondamental des parents de donner à leurs enfants l’école de leur choix.
Il n’est en rien revenu sur sa politique vis-à-vis de l’islamisation de la France.
Il a martelé sa volonté de poursuivre la politique de fusion de la France au sein de l’Union Européenne.
Il s’est présenté pour ce qu’il est : un républicain partisan de l’ordre, ce qui n’est pas mal en soi, mais un républicain ne remettant pas en cause les mauvais principes de la république jacobine, notamment sur la famille et l’école.
Certes, il a tenu sur le travail des propos positifs. Il n’a cependant pas dénoncé la loi, non seulement désuète, mais mauvaise, sur la représentativité syndicale.
Il serait pervers de souhaiter qu’il échoue dans l’application de ce qu’il a manifesté de positif sur ce dernier point et sur ceux concernant la sécurité des Français.
Cela dit, il faut maintenant espérer pour notre pays la création d’un grand mouvement rénovateur de droite nationale et sociale, fidèle aux valeurs fondamentales de la morale du Décalogue et novateur dans leur défense, imaginatif dans le programme politique, rénovateur dans l’ordre des relations humaines et de l’organisation militante.
Car si le mouvement national n’est pas capable des analyses critiques et des remises en cause nécessaires, s’il continue dans son autosatisfaction, ses incantations et ses récriminations, il ira sans tarder dans un mur de lamentations moins chargé d’histoire que celui de Jérusalem !
Pour certains, il est vrai, l’important n’est-il pas de toucher encore un peu de la manne financière étatique distribuée aux partis pour moitié en fonction du nombre des élus et pour moitié au prorata du nombre de voix obtenues aux élections législatives ? Ce prorata, c’est quand même de la soupe pour la nomenklatura du parti et pour que de surprenants nouveaux Aragons maurrassiens ou néo-marxistes chantent toujours la gloire de leur Staline qui a toujours raison !
Sic transit gloria mundi.
Bravo Bernard!
RépondreSupprimerUnion avec vous, le MNR, les régionalistes, les Identitaires et tous les autres. Après il sera toujours temps de la proposer au FN au MPF au RIF et à DLR.
Merci de ce constat brillant.
En avant!
BRAVO
RépondreSupprimer"Ce prorata, c’est quand même de la soupe pour la nomenklatura du parti et pour que de surprenants nouveaux Aragons maurrassiens ou néo-marxistes chantent toujours la gloire de leur Staline qui a toujours raison !
RépondreSupprimerSic transit gloria mundi."
J'aime beaucoup cette phrase. Bravo Monsieur Antony. Mais pourquoi ne pas nommer plus précisément ces médiocres qui mènent à la ruine le mouvement national ?
prenez cette initiative monsieur antony avec bruno Mégret et d'autres mais de graçe le temps presse
RépondreSupprimerJe partage votre analyse à plus de 100% si c'est possible, y compris dans les critiques sur ceux qui ne voient que le côté électoral des choses.
RépondreSupprimerCependant, maintenant il faut parer au plus pressé. Il faut imaginer d'autres formes de relations militantes, inventer d'autres programmes politiques et s'ouvrir à tout ce qui ne touche pas aux valeurs du décalogue (ah depuis le temps que je n'y croyais plus d'entendre une phrase si belle), mais il ne faut pas négliger les autres aspects, et je ne vous suis pas sur le terrain de mépriser les législatives, dans ce qu'elles ont d'aspects financiers.
Ca ne compte pas en premier, mais ca compte quand même.
Je suis de celles qui croient en vous car vous êtes le SEUL à avoir dit NON aux dérives en toute indépendance (je veux dire le seul de connu).
En 10 ans, il y en a eu deux: Vous et Mégret. Je crois en vous deux. Vous pour la doctrine, les idées, l'axe des idées, la formation, l'enracinement de notre idéal, et je crois en M Mégret pour l'organisation, le sérieux donné à l'appareil. Il faut vous unir tous les deux, dans l'acceptation de vos différences.
Il faut le faire dès les législatives. Le temps presse. Le dépôt des candidatures c'est le 18 mai minuit. Je vous en conjure, ne ratez pas le coche, il ne le faut pas.
Créez une dynamique, la dynamique que nous attendons tous. Laissez la place à quelques uns au front, carl lang, gollnisch, et deux trois autres symboliques, faites en de même avec les Bompard et ses amis au MPF, mais faites cette union avec le MNR, les identitaires, les régionalistes, etc, car il y va de notre avenir.
Après, oui après les législatives, il faudra tout repenser, mais alors là nous aurons le temps, du moins un peu avant de repartir au combat pour les municipales.
Votre role est central M Antony. Pourquoi ? Encore une fois parce que vous avez été le seul parmi les connus à dire NON aux dérives et à l'échec plus que prévisible.
Je vais vous dire le fond de ma pensée qui est je le pense ce que d'aucun pense tout bas: Quelque soit le mouvement que vous suiviez, vous le légitimerez. Si vous partez seul, rien ne sera possible pour vous et pour personne!
Ne suivez pas Villiers totalement discrédité. Ne partez pas seul au combat, vous vous condamneriez et les autres avec vous. Allez dans cette union à minima avec Mégret, Spieler et les autres. Ensuite, vous savez bien que votre poids fera que vous pourrez imposer enfin ce qu'on attend le plus: le retour à l'Amitié Française.
Ne désespérez pas toutes celles et tous ceux qui, dans les sections, les circonscriptions, attendent un seul signe pour y croire encore.
Faites cet effort, que Mégret le fasse aussi, et les autres aussi.
Nous voyons bioen qu'il n'y a plus rien à attendre du front qui s'apprête à se débarasser de Lang et des autres. Nous n'attendons rien de bon du MPF.
Alors alliez vous Mégret et vous, c'est vital. J'ajoute même que vous pourriez stopper immédiatement les dérives malsaines, comme de laisser libre une circonscription pour le traitre Touzé, valet de Marine Le Pen et de Soral, tout ça parce qu'il ne s'est pas opposé à Mégret dans l'ex union patriotique.
Et le pauvre Docteur Fouché Saillenfest, enraciné sur sa circonscription (fn puis mnr) depuis des décennies, a décidé d'arrêter la politique, écoeuré qu'il est!
Faites cette union en posant vos légitimes conditions, faites nous les connaitre ainsi que le résultat. Mégret doit aussi faire des efforts, les autres aussi, c'est vital.
Vite vite, comme je l'ai dit c'est urgent.
Merci à vous de m'avoir lu.
Que comptez-vous faire concrètement pour rénover la droite nationale et sociale ? Autrement dit, allez-vous rejoindre le Rassemblement National qui s'organise avec le MNR, les régionalistes et les identitaires ?
RépondreSupprimerAllez-vous vous associer avec Bruno Mégret pour mener ensemble cette grande et enthosiasmante entreprise de rénovation ?
Franchement, beaucoup n'attendent que ça ! (et moi aussi...)
la droite nationale se noie avec bruno Megret et vous monsieur Antony vous êtres notre bouée de sauvetage aidez nous a ne pas couler svp
RépondreSupprimerJe ne comprends pas le dernier anonyme, car si on aide pas Mégret c'est foutu. Tout le monde doit faire des efforts pour qu'on s'en sorte sinon à quoi bon ?
RépondreSupprimerJ'étais de ceux qui ont soutenu le pen face à mégret, mais là c'est clair il faut aider Mégret, tout le reste c'est du pipi de chat.
Cher Bernard Antony,
RépondreSupprimerM Vial parle un peu comme vous (sur l'organisation) en affirmant qu'il faut (en gros) que chacun reste chez soi et créer une légère structure souple d'union ponctuelle. Je pense que c'est la mort et non la vie.
Je ne suis pas idolatre de M mégret, mais je suis bien sur que sans lui et sans vous rien ne se fera.
Il faut garder l'unité dans une organisation puissante. Seule solution puisque plus personne ne veut du "leader maximo", c'est la collégialité. Je ne sors pas de là.
J'espère vraiment que chacun y mettra du sien, car quand je vois ce que fait le Front pour les législatives (pas une référence à l'union, pas une référence à la refondation d'un grand mouvement populaire et pas la moindre allusion aux valeurs), je me dis que les absents ont toujours tort et qu'à trop laisser le chemin libre à ceux qui détruisent, nous allons réellement disparaitre pour de bon.